C’est une révolution en matière de traitement des varices des membres inférieurs » se réjouissent le Dr Falvo, médecin vasculaire et le Pr Loffroy, radiologue interventionnel au CHU Dijon- Bourgogne. Pour ces deux spécialistes, la radiofréquence présente énormément d’avantages par rapport à la chirurgie traditionnelle beaucoup plus lourde. L’intervention
Laser anti-varices pas d'hospitalisation, pas de cicatrice ! Un nouveau traitement des varices au laser vient de recevoir son accréditation en France. Il permet d'éliminer des varices sous anesthésie locale et ne laisse aucune cicatrice. Moins agressif que les techniques chirurgicales classiques, il ne nécessite pas d'hospitalisation et les patients peuvent reprendre leurs activités dès le millions de Français concernés par les varices...Plus de 10 millions de Français ont des varices et souffrent de sensation de jambes lourdes ou de beaucoup considèrent les méthodes de traitement chirurgical trop agressives et renoncent à se faire aujourd'hui, grâce au laser, on peut traiter des varices sans thérapeutique se réalise en une demi-heure sous anesthésie locale et en chirurgie traitement chirurgical laser, comment ça marche ?Ce traitement chirurgical combine rayon laser et fibre optique une fibre laser est introduite dans la veine abîmée où une succession de tirs laser permet d'en fusionner les manipulations sont conduites sous contrôle des avantages de cette technique est qu'elle ne laisse aucune plus, les personnes peuvent retourner chez elles immédiatement après l'intervention et reprendre leurs activités dès le techniques chirurgicales classiques et notamment le stripping qui consiste à retirer la veine abîmée, sont beaucoup plus agressives. Elles nécessitent un arrêt et présentent davantage de risques liés aux complications de suites NewsletterRecevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de adresse mail est collectée par pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.
Combiende temps faudra-t-il pour récupérer ? Vous resterez brièvement dans la salle de réveil après l’opération jusqu’à ce que vous soyez alerte, que vous respiriez efficacement et que vos signes vitaux soient stables. Vous pouvez avoir un sore throat si un tube a été placé dans votre trachée pendant l’opération. Cela est Plusieurs techniques sont utilisées en France pour opérer les hémorroïdes l’hémorroïdectomie classique » qui retire les hémorroïdes technique dite de Milligan et Morgan, avec ou sans anoplastie et des techniques, plus récentes, qui ne consistent pas en une ablation des hémorroïdes mais qui visent à les réduire, les remonter… Elles sont dites mini invasives ». Il en existe plusieurs L’hémorroïdopexie de Longo du nom de son inventeur » qui laisse en place les paquets hémorroïdaires mais les repositionne dans le canal anal en réséquant une collerette de muqueuse rectale à l’aide d’une pince agrafeuse ce qui réduirait l’apport sanguin au niveau des ligature hémorroïdaire sous contrôle doppler, avec ou sans mucopexie, dite technique du HAL doppler pour hemorroid artery ligature, qui consiste à repérer le vaisseau hémorroïdaire avec une petite sonde, et à ligaturer avec un fil ce vaisseau une fois repéré. On peut y associer un froncement » de muqueuse qui permettra de remonter le paquet hémorroïdaire si radiofréquence qui consiste à brûler » les paquets hémorroïdaires grâce à une sonde qui délivre des micro-ondes ; cette technique est également utilisée pour le traitement des varices des jambes entre autres. La méthode de résection hémorroïdaire, ou hémorroïdectomie selon Milligan et Morgan crée 3 ou 4 plaies opératoires au niveau de la marge et du canal anal qui sont volontairement laissées ouvertes figure 1, les hémorroïdes internes et externes sont enlevées. Figure 1 Plaie d’une hémorroïdectomie Milligan-Morgan » À l’inverse, avec les autres techniques, il n’existe pas de plaies visibles à l’extérieur ; seules les hémorroïdes internes sont traitées. Les suites opératoires seront donc très différentes suivant la technique utilisée, plus longues et douloureuses avec la technique classique. Point important il faut noter que ces suites ne sont pas le seul élément à prendre en compte pour choisir une technique par rapport à une autre, les indications des deux méthodes n’étant pas superposables voir sur ce site La maladie hémorroïdaire. Il s’agit d’une hémorroïdectomie classique En France, aujourd’hui, cette intervention est pratiquée soit en ambulatoire le patient rentre le matin et ressort le jour même sans passer de nuit à l’hôpital ou à la clinique, soit au cours d’une courte hospitalisation de quelques jours 2 à 3 jours. La durée de cette hospitalisation peut varier selon les équipes chirurgicales. La douleur est le principal désagrément de l’opération. Cette opération a la fâcheuse réputation d’être très douloureuse. Toutefois une infiltration d’anesthésique local de durée prolongée faite pendant l’anesthésie générale, au cours de l’opération, permet de largement diminuer la douleur au réveil et durant la première journée. De plus les médicaments antidouleurs la morphine et ses dérivés et anti-inflammatoires sont largement utilisés et permettent le plus souvent de bien contrôler la douleur. Souvent il ne s’agit pas d’une douleur continue, mais de pics douloureux au moment des selles ou des soins post opératoires. Ceci explique pourquoi, malgré l’amélioration de la prise en charge de la douleur, il n’est pas possible de rendre cette intervention strictement indolore. La prévention de la constipation est capitale. La première selle, souvent redoutée par les malades, sera facilitée par la prescription systématique de laxatifs doux. Lorsqu’elle tarde trop, un bouchon de selles, appelé fécalome peut se produire. Son évacuation peut être facilitée par l’administration d’un lavement évacuateur destiné à ramollir les selles. La survenue d’un fécalome peut se manifester par des signes trompeurs émissions incessantes de matières liquides, pseudo-incontinence. Il ne faut surtout pas arrêter les laxatifs et recourir aux antidiarrhéïques ! Votre médecin fera le diagnostic en pratiquant un toucher rectal et après évacuation du bouchon il conviendra d’augmenter les laxatifs pour éviter la récidive. Les soins post-opératoires sont simples. À votre sortie, vous pourrez les pratiquer vous-même. Un lavage des plaies au moyen de bains de siège ou à la douchette, avec un savon doux devra être réalisé 2 fois par jour et après chaque selle le papier toilette devant être évité. Les plaies, qui n’ont pas besoin d’être désinfectées, seront éventuellement recouvertes de pommade. Il est normal que ces plaies suintent. L’écoulement peut être coloré jaune, vert, marron et ne doit pas être confondu avec du pus. Des traces de sang peuvent s’observer sur les pansements ou sur les selles. L’infection des plaies opératoires est possible, mais elle est finalement très rare compte tenu du caractère très riche en microbes de la région. La cicatrisation est longue. Elle dure en moyenne 6 semaines. Des démangeaisons sont fréquentes pendant cette période. Des retard de cicatrisation sont possibles plus de 8 semaines dans 2,7% des cas et parfois plusieurs mois.La douleur, l’inconfort et les soins post-opératoires expliquent qu’un arrêt de travail d’en moyenne 3-4 semaines sont à prévoir après l’opération. Quelles sont les complications possibles ? Il existe des complications urinaires, précoces, survenant au cours des premiers jours post-opératoires chez 10 à 20% des opérés. Elles sont plus fréquentes chez l’homme. Il s’agit de difficultés à uriner d’origine réflexe avec au maximum une rétention d’urine qui peut nécessiter la mise en place temporaire d’une sonde urinaire dans moins de 2% des cas. Une rétention aiguë d’urine peut aussi être secondaire à un fécalome. Les hémorragies post-opératoires peuvent survenir durant les 3 premières semaines après l’opération, par saignement d’un petit vaisseau au niveau d’une plaie, notamment au moment où les croutes » tombent vers 7 – 10 jours, on appelle cela la chute d’escarre ». Un traitement local peut suffire pansement compressif par exemple mais parfois il est nécessaire d’effectuer un geste chirurgical complémentaire pour arrêter le saignement. Ce risque explique pourquoi il est vivement conseillé de s’abstenir de voyager loin d’un centre de santé et de prendre l’avion dans les 21 jours suivant l’opération. Le rétrécissement anal, ou sténose, concerne moins de 5% des opérés. Il peut être traité par dilatation ou nécessiter un geste chirurgical complémentaire. Les troubles de la continence difficultés à retenir les gaz ou les matières ont une fréquence mal évaluée. Très souvent ils sont transitoires, dus aux plaies et à la prise de laxatifs, mais ils régressent ou s’améliorent après cicatrisation. Les mécanismes de ces troubles, quand ils persistent après la cicatrisation, sont la suppression des coussinets hémorroïdaires eux-mêmes les hémorroïdes ont une utilité dans la continence et participent pour 10% au tonus sphinctérien de base, d’éventuelles lésions traumatiques des sphincters. L’infection, avec formation d’un abcès nécessitant de ré-intervenir, est exceptionnelle. Un suivi post-opératoire est nécessaire afin de diriger la cicatrisation et de dépister la survenue d’un rétrécissement par la pratique d’un toucher rectal. Il s’agit d’une intervention de Longo anopexie par agrafage circulaire, d’un HAL doppler ou de radiofréquence Ces opérations ne sont pas une hémorroïdectomie à proprement parler. Elles sont en règle générale moins douloureuse que cette dernière, le plus souvent réalisées en ambulatoire et un arrêt de travail d’une à deux semaines suffit. La reprise du transit est plus facile. Il n’y a pas de suintement et aucun soin local n’est nécessaire compte tenu de l’absence de plaie externe. Pour l’intervention de Longo les agrafes tombent d’elles même en 1 mois environ. Les complications possibles sont le saignement post-opératoire qui peut nécessiter la reprise chirurgicale pour arrêter le saignement à l’aide d’un point de suture, il peut survenir pendant 3 semaines suivant l’opérationla sténose au niveau de la ligne d’agrafes pour le Longo, en générale facilement dilatablela douleur prolongée notamment lorsque le chirurgien a positionné sa ligne d’agrafes trop bas pour le Longola survenue de thromboses hémorroïdaires post-opératoiresexceptionnellement des infections gravissimes ont été rapportées. Conclusion Même si l’hémorroïdectomie classique reste une intervention douloureuse aux suites longues, il faut savoir que si cette opération se justifie, tous les autres traitements ayant échoué rappelons que seuls 10% des malades souffrant de leurs hémorroïdes seront finalement opérés, le taux de satisfaction des opérés est très élevé, proche de 90%. Pour en savoir plus Sur ce site La maladie hémorroïdaireRecommandations pour la pratique clinique sur le traitement de la maladie hémorroïdaire. Th. Higuero 2013. Dr Agnès Sénéjoux. mars à jour Dr Charlotte Favreau-Weltzer. avril 2018. Laseule méthode efficace de traitement des varices consiste à retirer la veine altérée incapable de remplir ses fonctions. Les avantages de la méthode de suppression laser : Traumatisme minimal, qui permet de réaliser l'intervention en ambulatoire et sous anesthésie locale ; vous pouvez rentrer chez vous immédiatement après l'opération; Il y a bien sûr une vie sexuelle après l'ablation de l'utérus. Mais la minimiser sur le plan psychologique serait une erreur. Tous nos conseils pour y pratique l'ablation de l'utérus en cas de cancer des organes génitaux, d'hémorragies trop importantes dues à un fibrome par exemple ou encore d' lire aussi Cancer et sexualié stop aux questions tabouesQuelle hystérectomie ?Il existe trois types d'hystérectomie ablation de l'utérus la partielle on ôte seulement le corps de l'utérus, la totale on retire col et corps de l'utérus et enfin, l'hystérectomie totale élargie l'utérus entier est enlevé ainsi qu'une partie du vagin et des ganglions lymphatiques. Ces opérations peuvent être effectuées par voie abdominale, vaginale ou physiologiques de l'hystérectomiePhysiologiquement, l'hystérectomie entraîne la fin des règles et supprime toute possibilité de maternité. C'est pourquoi il vaut mieux, dans certains cas, prendre plusieurs avis médicaux. Mais cette ablation ne signifie pas la fin de la sexualité, même si, pendant un à deux mois après l'intervention, la cicatrice reste douloureuse et qu'il vaut mieux éviter les rapports sexuels avec pénétration. Mais une fois la convalescence passée, comme après un accouchement, les tissus retrouvent leur tonicité et leur sensibilité et la sexualité peut reprendre son cours psychologiques de l'hystérectomieEn revanche, sur le plan psychologique, cette opération est loin d'être anodine. Dans l'inconscient, fertilité et féminité sont étroitement liées. L'hystérectomie peut donc être vécue comme une mutilation intime et à l'origine d'états dépressifs. On lui impute à tort des prises de poids, mais rien ne les justifie sur le plan physiologique. Sans doute, faut-il voir dans ces réactions du corps une réponse à l' lire aussi Il y a une vie sexuelle après l'hystérectomie...Cette intervention est délicate dans la vie d'une femme, qui, blessée dans sa féminité, a peut-être davantage besoin de se sentir toujours désirable et désirée. Pour être rassurant, son partenaire doit d'abord être lui-même rassuré et informé l'hystérectomie n'a pas d'effet physiologique sur la libido, son pénis ne peut pas blesser le vagin ni y occasionner de douleurs. Les rapports sexuels peuvent se poursuivre sans précaution la newsletter sexo Tous les articles SexualitéVisuel Jupiter dO1y.
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