Nantes Elle refuse d’enlever son voile et se rebelle pendant sa journĂ©e d’appel FAITS DIVERS Une jeune femme de 19 ans a Ă©tĂ© placĂ©e en garde Ă  vue aprĂšs avoir refusĂ© d'ĂŽter son voile
C'est le MeToo du harcĂšlement vestimentaire. Des voix de femmes du Moyen-Orient vivant en Occident - ou pas - qui ont dĂ» porter le hijab - ou le porter encore - s'Ă©lĂšvent. Elles clament que le voile islamique n'est pas un vĂȘtement anodin et encore moins une libertĂ© pour les femmes. En espĂ©rant se faire entendre de certaines fĂ©ministes qui rĂ©pĂštent comme un mantra que le voile est un a commencĂ© comme un nouvel Ă©pisode de lĂąchetĂ© intellectuelle et de capitulation devant des accusations d’islamophobie. AprĂšs que le Journal de l’Association mĂ©dicale canadienne a publiĂ© sur sa couverture une photo d’enfants dans laquelle une petite fille portait le hijab, le chirurgien pĂ©diatrique Dr Sherif Emil, a adressĂ© une lettre Ă  l’équipe Ă©ditoriale intitulĂ©e N’utilisez pas un instrument d’oppression comme symbole de diversitĂ© et d’inclusion ». Le mĂ©decin s’insurge contre l’utilisation banale de telles images dans la plus grande revue mĂ©dicale du Canada Il est devenu libĂ©ral » de voir le hijab comme un symbole de diversitĂ© et d’inclusion 
 Le hijab, le niqab et la burka sont des instruments d’oppression pour des millions de filles et de femmes dans le monde qui ne sont pas autorisĂ©es Ă  faire un choix ». Le Conseil national des musulmans canadiens a demandĂ© le retrait immĂ©diat du texte sur le site web du journal. La lettre a Ă©tĂ© immĂ©diatement supprimĂ©e et la rĂ©dactrice en chef a prĂ©sentĂ© ses excuses pour avoir rendu publiques les paroles erronĂ©es, blessantes et offensantes » du fois, cependant, la lĂąchetĂ© de certains a rĂ©vĂ©lĂ©, a contrario, la bravoure de tant d’autres. De nombreuses femmes du Moyen-Orient qui vivent en Occident ont rĂ©agi Ă  l’incident, lançant une grande campagne sur les rĂ©seaux sociaux et exigeant qu’on les Ă©coute sur les questions qui affectent leur vie, comme le code vestimentaire religieux. La campagne LetUsTalk Laissez-nous parler est devenue virale en quelques jours. En Iran, on m’a dit que, si je ne portais pas le hijab, je serais renvoyĂ©e de l’école, emprisonnĂ©e, fouettĂ©e, battue et expulsĂ©e de mon pays. En Occident, on me dit que raconter mon histoire provoquera de l’islamophobie. Je suis une femme du Moyen-Orient et j’ai peur de l’idĂ©ologie islamique. Laissez-nous parler ». C’est par ce tweet que la cĂ©lĂšbre militante iranienne contre le hijab obligatoire Masih Alinejad a rĂ©agi Ă  la censure de la lettre du mĂ©decin. Avec ces mots, accompagnĂ©s d’une photo d’enfance d’elle-mĂȘme portant un hijab, elle a inspirĂ© une avalanche de confessions similaires. Son tweet a Ă©tĂ© likĂ© par plus de 30 000 personnes et le hashtag LetUsTalk a commencĂ© Ă  se Iran I was told if I don’t wear hijab, I get kicked out from school, I get jailed, lashes, beaten up, and kicked out from my country. In the West I’m told, sharing my story will cause Islamophobia. I’m a woman from Middle East and I am scared of Islamic ideology. Let us talk. Masih Alinejad đŸłïž AlinejadMasih December 28, 2021 J’avais l’habitude de retirer secrĂštement mon hijab juste pour sentir l’air dans mes cheveux. Cette idĂ©ologie m’a volĂ© ma vie », a tweetĂ© une Saoudienne en exil, Rana Ahmad. Un autre jour en Allemagne, oĂč je me promĂšne sous le soleil sans ce hijab qui me fait me sentir comme une citoyenne de seconde zone, comme je l’étais quand j’étais en Arabie Saoudite
 », Ă©crit une autre saoudienne exilĂ©e, Loujain. Au YĂ©men, j’ai Ă©tĂ© forcĂ©e de porter le hijab Ă  l’ñge de six ans et le niqab vers treize ans, et quand j’ai dĂ©cidĂ© de l’enlever, la moitiĂ© de ma famille m’a abandonnĂ©e, puis quand j’ai enlevĂ© le hijab et l’abaya, j’ai tout perdu », confesse Basma Nasser, qui vit aujourd’hui en centaines d’histoires similaires sont dĂ©sormais postĂ©es et partagĂ©es sur Twitter, contredisant Ă  la fois les dĂ©fenseurs de l’islamisme, qui mettent en scĂšne des procĂšs en islamophobie, et certaines fĂ©ministes occidentales, qui ont aveuglĂ©ment adoptĂ© le mantra le hijab est un choix ». Pour ĂȘtre honnĂȘte, je ne m’attendais pas Ă  ce que mon message crĂ©e une telle vague dans le monde, confesse Masih Alinejad Ă  Charlie. Cette fois, ce ne sont pas seulement les femmes iraniennes qui s’expriment. Je vois combien cette campagne a uni de nombreuses femmes de pays musulmans ou de communautĂ©s musulmanes en Occident. Toutes ces histoires sont pleines de douleur. Nous essayons de faire comprendre au reste du monde que nous sommes, nous les femmes qui avons vĂ©cu sous la charia, celles qui connaissons le mieux les idĂ©ologies islamiques et que nous avons le droit d’avoir peur de toutes les brutalitĂ©s que nous avons subi. J’ai le droit de raconter mon histoire ! »Elles veulent pouvoir raconter leur histoire sans ĂȘtre accusĂ©es d’islamophobie. Mais elles veulent aussi ĂȘtre entendues par les fĂ©ministes occidentales, dont beaucoup ont repris Ă  leur compte les rĂšgles de pudeur religieuses sexistes et les ont dĂ©guisĂ©es en symboles d’ empowerment ». LetUsTalk s’adresse aux Occidentaux, en particulier aux fĂ©ministes, pour leur demander d’ĂȘtre solidaires avec les femmes opprimĂ©es par la loi islamique », explique Ă  Charlie une autre Iranienne, qui rĂ©side en France, Aghdas Khanoom pseudonyme. J’ai Ă©tĂ© rĂ©duite au silence dans mon pays, et maintenant dans le monde libre. Et c’est encore plus douloureux ». Un sentiment que partage Ă©galement Shammi Haque, une journaliste bangladaise exilĂ©e en Allemagne J’ai dĂ©cidĂ© de participer Ă  cette campagne dans l’espoir que les fĂ©ministes occidentales comprennent notre souffrance et notre douleur, qu’elles comprennent ce que signifie rĂ©ellement le voile/hijab et qu’elles cessent de le promouvoir. Au nom de la diversitĂ© ou pour protĂ©ger les minoritĂ©s, les fĂ©ministes allemandes sont aveuglĂ©es par leurs privilĂšges ». Basma Nasser, une Ă©tudiante yĂ©mĂ©nite exilĂ©e en France, insiste Ă©galement sur le fait qu’ il y a certains courants politiques en France qui considĂšrent le hijab comme un choix et le voit comme une culture arabe, ce qui n’est pas vrai ; comment peut-on dire que le hijab est un choix personnel », s’il n’y a pas d’autres options, si la rĂ©bellion contre le hijab est un crime dans beaucoup de pays ».Et mĂȘme si en Occident la rĂ©bellion contre le hijab n’est pas un crime au regard de la loi, des confessions publiĂ©es via LetUsTalk rĂ©vĂšlent que de nombreuses femmes ne vivent pas non plus le hijab comme un choix » dans les pays occidentaux. Je me suis convertie Ă  l’islam Ă  28 ans. J’ai pleinement acceptĂ© toutes les rĂšgles et pratiques. Le hijab n’a jamais Ă©tĂ© une option. Je ne l’ai jamais remis en question jusqu’à la fin de mon mariage, lorsque j’ai commencĂ© Ă  l’enlever parfois lorsque j’étais seule. Lorsque mon mari l’a dĂ©couvert, il m’a dit que c’était un motif de divorce », tweete Deborah du Royaume-Uni. Au Canada, on m’a forcĂ©e Ă  porter le hijab Ă  9 ans, le niqab Ă  19 ans. J’ai Ă©tĂ© reniĂ©e et menacĂ©e de mort parce que je choisis ce que je porte sur mon corps », raconte Yasmine Mohammed, qui a Ă©chappĂ© Ă  un mariage forcĂ© et est devenue une militante des droits des femmes. Elle souligne qu’en Occident, les femmes des communautĂ©s musulmanes peuvent ĂȘtre contraintes de se couvrir non pas par des lois, mais par des mĂ©thodes dĂ©tournĂ©es, y compris en s’entendant dire que seules les putes ne se couvrent pas et en se voyant menacĂ©e de brĂ»ler en enfer pour l’éternitĂ© ».En effet, alors que des Iraniennes continuent d’ĂȘtre emprisonnĂ©es pour avoir enlevĂ© leur hijab, alors que les Afghanes rĂ©sistent aux Talibans qui effacent de nouveau les femmes de l’espace public, en Occident, nous sommes occupĂ©s Ă  promouvoir le port du hijab, dans la mode, dans la publicitĂ© et dans les mĂ©dias, tout en nous auto-congratulant pour notre tolĂ©rance
 Et les femmes du Moyen-Orient en Occident qui osent s’exprimer contre le code vestimentaire de la pudeur sont rĂ©duites au silence par les islamistes Ă  droite, et par les progressistes » Ă  gauche. Laissez-les parler ! ‱
gngeugneu elle est musulmane elle porte le voile" argument fallacieux quand on sait que le voile ne se porte absolument pas comme elle le fait "gngneu elle dit joyeux aĂŻd sur fb" oui et ? elle
Ce matin, Jean-Marc Morandini prĂ©sentait le premier numĂ©ro de "Face Ă  la rue" sur CNews. En direct de Drancy, Eric Zemmour Ă©tait "face Ă  la rue" Ă  la rencontre "de la vraie vie". Au cours de l'Ă©mission, l'Ă©crivain a rencontrĂ© Rachida, une femme voilĂ©e."J'ai choisi de porter le voile. Je le porte depuis peu, parce que mon coeur et ma foi m'ont guidĂ© vers ce voile. Je suis Française mais j'ai ma petite religion. Ce bout de tissu que je porte sur la tĂȘte fait de moi la femme que je suis. Je ne changerai pas", a-t-elle dĂ©clarĂ© avant qu'Eric Zemmour indique que "ça [le] choque".Et d'ajouter "Ce bout de tissu, monsieur Zemmour, ne fait pas une personne. Je suis une femme. Voyez la femme que je suis, ne voyez pas le tissu que je porte sur la tĂȘte ... Je suis une femme libre". "Alors enlevez le si ça n'a pas d'importance !", a lancĂ© Eric de son interlocutrice "Alors enlevez votre cravate Ă  ce moment lĂ  !". Le polĂ©miste a alors enlevĂ© sa cravate rejoint, quelques instants plus tard, par Rachida qui a retirĂ© son voile."Sachez une chose le foulard ne fait pas la religion. Votre cravate ne vous donne pas plus d'intelligence", a-t-elle dĂ©clarĂ©. vous propose de redĂ©couvrir cette sĂ©quence qui s'est dĂ©roulĂ©e en direct voir vidĂ©o ci-dessus.
Ilest permis Ă  la femme musulmane de retirer son voile devant ses mahram. Celui-ci est toute personne qu’une femme ne pourra jamais Ă©pouser, soit pour la parente (le pĂšre , le La Flandre vient d’avoir une idĂ©e gĂ©niale pour remĂ©dier Ă  la pĂ©nurie d’enseignants lever l’interdiction du voile ! C’est que de nombreuses jeunes femmes musulmanes, paraĂźt-il, sont titulaires d’un diplĂŽme d’enseignement mais ne trouvent pas de travail, parce qu’elles sont voilĂ©es et que la plupart des Ă©tablissements refusent que les enseignants portent des signes extĂ©rieurs de leurs convictions. Or, elles refusent de l’enlever, arguant de la libertĂ© religieuse que leur reconnaĂźt la voix s’élĂšvent donc pour rĂ©clamer que l’on mette fin Ă  cette interdiction. Car quel gaspillage de talents, rendez-vous compte ! Nous disposons en Flandre d’un vĂ©ritable vivier d’enseignantes dĂ»ment formĂ©es, et par ailleurs 3 000 postes sont Ă  pourvoir. L’équation est simple
 Savoir-ĂȘtre » de l'enseignantSimple en effet, mais peut-ĂȘtre trop simple, en ce qu’elle ne tient aucun compte des motifs pour lesquels tant d’écoles flamandes interdisent aux enseignants le port d’un signe religieux – Ă  l’instar, d’ailleurs, de la rĂšgle qui prĂ©vaut dans l’ensemble de l’enseignement francophone et qui interdit aux enseignants, en vertu du dĂ©cret neutralitĂ©, de tĂ©moigner de leur prĂ©fĂ©rence pour un systĂšme 
 religieux ».Or, admettre qu’un enseignant affiche, devant ses Ă©lĂšves, ses convictions religieuses, c’est considĂ©rer que la neutralitĂ© ne fait pas partie des compĂ©tences requises pour enseigner. C’est partir du principe qu’un bon enseignant est un enseignant qui maĂźtrise les savoirs qu’il lui incombe de transmettre, voire est dotĂ© d’un certain nombre de compĂ©tences strictement pĂ©dagogiques, mais exclure du champ de ces compĂ©tences ce que les pĂ©dagogues appellent un savoir-ĂȘtre ». Celui, prĂ©cisĂ©ment, qui permet Ă  l’enseignant de dissocier sa personne privĂ©e, porteuse de convictions, d’engagements et de prĂ©fĂ©rences personnelles variĂ©s, et la fonction qu’il de neutralitéÀ la question Pourquoi ne pourrait-on pas enseigner avec un voile ? », une autre question me paraĂźt donc devoir ĂȘtre prĂ©fĂ©rĂ©e Pourquoi des enseignantes diplĂŽmĂ©es refusent-elles d’enlever leur voile Ă  l’école ? ».PosĂ©e sous cet angle, la question ferait certainement Ă©merger des Ă©lĂ©ments de rĂ©ponse pour le moins Ă©clairants, certes plus embarrassants que le sempiternel mantra Mon voile, ma libertĂ© » encore scandaleusement vĂ©hiculĂ© par la toute rĂ©cente campagne du Conseil de l’ il est pour le moins curieux qu’à l’heure oĂč fleurissent tant de thĂ©ories sur le savoir-ĂȘtre et la communication non verbale, il faille batailler pour faire admettre qu’afficher sa conviction religieuse devant ses Ă©lĂšves, tout au long de l’annĂ©e, est un acte de communication Ă  part entiĂšre qui dit quelque chose de soi. Et que ce quelque chose », outre qu’il n’a simplement pas sa place dans la relation pĂ©dagogique, a nĂ©cessairement Ă  voir, par quelque bout qu’on le prenne, avec le rapport au dogme religieux d’une part, avec le corps fĂ©minin de l’ fondamentalement encore, le refus de se dĂ©partir de ses signes religieux devant ses Ă©lĂšves signe un refus de voir le religieux peu ou prou assignĂ© Ă  la sphĂšre privĂ©e. En un mot comme en cent un refus de la sĂ©paration du politique et du religieux dont nous savons pourtant qu’il est la condition de possibilitĂ© de la paix LIRE AUSSI DerriĂšre la campagne pro-voile du Conseil de l’Europe, la galaxie des frĂšres musulmans
Siune femme est seule avec son Ă©poux, elle a le droit d’ĂȘtre dans la tenue qu’elle dĂ©sire. Le ProphĂšte () a dit : « PrĂ©serve ta ‘Awra (nuditĂ©), sauf devant ta femme ou tes esclaves. » (AbĂ» DĂąwĂ»d et d’autres). En d'autres termes il n'y a pas de 'Awra entre Ă©poux. En effet, il est permis au mari de regarder n'importe quelle
Chaquefois qu'une femme se déshabille en dehors de chez l'une de ses parentes , elle déchire tout voile le séparant du Clément, le Puissant et Auguste. (at.-Targhib wa at.-Tarhiib,1/119). chaque fois qu'une femme se déshabille en dehors du domicile de son mari , elle enlÚve le voile le séparant de son Maßtre.
Dumoment que cela constitue un devoir religieux pour la musulmane, il n’est pas acceptable - du point de vue de la religion, de l’éthique, de la coutume, de la loi et de la constitution - qu’elle soit contrainte de l’enlever, violant ainsi ses convictions et sa conscience. DĂ©couvredes vidĂ©os courtes en rapport avec femme voila oblige de enlever son voile sur TikTok. Regarde du contenu populaire des crĂ©ateurs suivants : shaima_blr(@shaima_blr), BIG DANI(@dani.lsr), ChaĂŻma đŸ€Ș(@31.chaima), FC(@francecoutume), Redazere(@redazere), leNđŸ‘¶đŸœ(@naelpatron), Yasmina’s_world 🩋(@layasminabou), Reina(@reina.dressing), Sila femme visionnaire est mariĂ©e et qu'elle se voit enlever son voile dans un rĂȘve et le brĂ»ler, cela indique que son mari lui causera du tort de la part de quelqu'un ou qu'il mourra bientĂŽt. Lorsque la femme mariĂ©e voit qu'elle achĂšte un nouveau hijab, c'est un Peuton enlever le voile pour des raisons mĂ©dicales Je suis trĂšs inquiĂšte car j’ai attrapĂ© une maladie nerveuse pendant que j’étais en Bosnie maladie qui m’empĂȘche de bouger le cĂŽtĂ© droit de mon corps Je souffre de cette maladie depuis cinq ans et ma situation se dĂ©tĂ©riore De plus je souffre de problĂšmes optiques et je n’ai plus le courage d’affronter cette maladie En fait 9fEQhRz.
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