Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă 2008 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? TW sexe, drogue, relation toxique, mots crus Les fenĂȘtres ouvertes laissaient entrer un soleil cuisant, une chaleur devenue insupportable. Au sol, des vĂȘtements Ă©taient Ă©parpillĂ©s ici et lĂ , souvenirs torrides de la nuit derniĂšre. Les sons provenant de la tĂ©lĂ©vision rĂ©sonnaient dans lâappartement en se mĂȘlant au rythme rĂ©gulier du ventilateur qui tentait tant bien que mal de rafraĂźchir la piĂšce. Des volutes de fumĂ©e stagnaient dans lâair, provenant dâune cigarette coincĂ©e entre mes lĂšvres. HabillĂ© dâun simple boxer, mes yeux glissaient Ă travers le livre que je tenais dâune main, tranquillement allongĂ© sur le lit, Ă travers les fins draps marquĂ©s par nos Ă©bats. Un corps complĂštement nu Ă©tait installĂ© prĂšs du mien. Eden dormait encore. De temps en temps, mon regard sâenfuyait de ma lecture pour se glisser sur ses courbes. Je lâadmirais, comme souvent. Je me perdais dans la contemplation enchanteresse quâelle mâoffrait sans mĂȘme le vouloir. Ses courbes mâappelaient, tel un camĂ© devant une latte de coke. JâĂ©tais accro. Ses longs cheveux roux reposaient en cascade le long de son dos, brillant en rĂ©ponse aux rayons du soleil, me donnant lâenvie de glisser mes doigts dedans. Mais je nâen fis rien. Je restais silencieux, par peur de la rĂ©veiller et de briser ce moment de calme entre nous. Ils Ă©taient rares, ces moments, trop pour que je me permette dây mettre un terme. A la place, je replongeais dans ma lecture. Aucune idĂ©e de lâheure quâil pouvait ĂȘtre. Si on Ă©tait le matin ou lâaprĂšs midi. Ăa nâavait aucune importance. Tel un automatisme, mes doigts faisaient des allers retours jusquâĂ mes lĂšvres pour mâapporter une dose de nicotine devenue indispensable. Ce nâest que lorsque jâeus fini une Ă©niĂšme clope que je relevais la tĂȘte pour de bon. Les besoins physiques indispensables Ă©taient revenus Ă la charge. Sâhydrater, aller aux chiottes, manger, ce genre de conneries. Mon livre fini sur la table de chevet. Tel un fĂ©lin, je me glissais en dehors du lit sans le moindre bruit, direction la salle de bain. Sur mon passage, jâavisais le plateau qui traĂźnait sur une table oĂč la poudre blanche mâattendait. Jâeu une fraction de seconde dâhĂ©sitation. Plus tard. AprĂšs la douche. Je ne pris mĂȘme pas la peine de prendre des vĂȘtements propres. Je me glissais sous lâeau aprĂšs ĂȘtre passĂ© aux toilettes. Une bonne douche froide, ça me soulageait au moins autant quâune clope sur le moment. Lâeau dĂ©vala mon corps. xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis _________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă 2010 â everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cĆur est trop lourd Ă porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. âŒâČ⌠Tu te sentais bien lĂ dans ses draps. Tâavais lâimpression de dormir dans des draps en satin. Mais ce nâĂ©tait quâune impression. Ils Ă©taient en coton mais chaque chose quâil touchait devenait extraordinaire. Tu tournas la tĂȘte dans ton sommeil. Ton corps sentis sa prĂ©sence Ă tes cĂŽtĂ©s. Il tâenvoutait. Il tâavait pris ton cĆur et ton Ăąme Ă la seconde mĂȘme oĂč tu avais posĂ©s tes prunelles dans ses yeux. Tu lâavais su Ă la seconde oĂč il avait souris que tu Ă©tais foutu. Calista, ton amie, tâavais dis de faire attention Ă lui. Quâil nâĂ©tait pas une bonne personne pour toi. Elle ne savait pas que câĂ©tait exactement les paroles quâil ne fallait pas quâon te dise. Tu avais besoin de ça. Ton monde Ă©tait un carnage depuis que tu avais appris que tu nâĂ©tais quâune demi-Ross. Ton monde avait volĂ© comme une boule de cristal. Et tu avais besoin d'un nouveau socle dans ta vie pour te remettre dâaplomb. Et tu trouvais quâAlden Ă©tait parfait comme candidat. Beaucoup trop mĂȘme vu quâil avait rĂ©ussi Ă tout avoir de toi. Ton corps au point que le dessin de sa bouche avait finis comme tatouage sur ton aĂźne. Ton cĆur qui battait Ă chaque fois quâil posait les yeux sur toi. Et le pire dans tout ça. Ton Ăąme. Tu tâĂ©tais aveuglĂ©e dans cette relation. Elle Ă©tait toxique pour vous deux mais tu ne lâa changerais pour rien au pour confirmer les choses, tes yeux papillonnĂšrent quand tu ne ressentais plus la prĂ©sence dâAlden Ă tes cĂŽtĂ©s. Il sâĂ©tait levĂ©. Et tu compris quelques secondes en attendant les gouttes dâeaux fouettĂ© le mur de la douche oĂč il Ă©tait. Tu poussais un soupire et tâĂ©tirais comme un chat. Tu avais des courbatures de vos Ă©bats dâhier. CâĂ©tait ça aussi vous. Sauvage. Vous Ă©tiez deux faunes dans une cage qui se battaient pour dominer lâautre. Et devenir cĂąlin par la suite. Tu te levas et marcha en direction de sa salle de bain. Ton corps nu avait encore les traces de vos Ă©bats dâhier. Tes yeux trouvĂšrent Alden qui te tournait le dos. Un sourire glissa sur tes lĂšvres quand tes yeux se posĂšrent sur ses fesses. Si toi tu avais un tatouage sur lâaine, il lâavait les tiennes sur les fesses. Signe dâune possessivitĂ© sans faille. Tu pĂ©nĂ©tras dans la douche et enroula tes bras autour du torse de celui qui faisait battre ton cĆur. Tu posas ta tĂȘte sur son dos apprĂ©ciant le contact de vos deux peaux nues. » Tâes cap toi de mâaimer dans cette douche ? Ăa avait toujours Ă©tĂ© ça entre vous. Du cap ou pas cap. Du matin au soir. CâĂ©tait votre drogue. Votre adrĂ©naline. Votre dĂ©chĂ©ance. Et sans le savoir tu avais plongĂ© tout ton corps dedans. Alden Ă©tait ta putain de drogue. Il Ă©tait ton diable Ă toi. Et aveuglĂ©e par tes sentiments, tu ne voyais rien de tout cela. Tu glissais une de tes mains sur ton torse pour une caresse lĂ©gĂšre. Lâeau sâabattait sur toi et tu pousses un soupire de bien ĂȘtre. Tu adorais ce genre de sensation. Lâeau et ton corps nu contre celui dâ PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cĆur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDA Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă 2016 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? Les yeux fermĂ©s, je profitais du court moment de solitude qui mâĂ©tait offert, laissant mes pensĂ©es vagabonder dans mon esprit sans vraiment mâaccrocher Ă lâune dâelle. Jâaimais ses journĂ©es, oĂč rien nâavait dâimportance et nous ne nous soucions de rien Ă part de profiter du moment prĂ©sent. Loin de nos problĂšmes et du monde extĂ©rieur. Loin de tout. Un vent frais dans mon dos me fit rouvrir les yeux, prendre conscience de la prĂ©sence dâEden dans mon dos. Je souris Ă lâinstant mĂȘme oĂč ses bras mâentourĂšrent. Sa voix encore enrouĂ©e par le sommeil se glissa jusquâĂ mon oreille. Mon sourire sâĂ©tira. Je me retournais suite Ă sa caresse sur mon torse, grisĂ© par son contact rendu diffĂ©rent Ă cause de lâeau qui sâabattait sur nos corps. Je plongeais dans son regard sans dĂ©tour. Mes doigts sâinvitĂšrent le long de sa mĂąchoire en une caresse tendre. Cap. »Mes lĂšvres Ă©chouĂšrent sur les siennes. Mon palpitant reparti au galop. Mes mains dĂ©valĂšrent les courbes de son corps. Je la voulais plus prĂšs. Toujours plus. Elle mâavait emprisonnĂ©, mâavait envoĂ»ter sans que je le vois venir. Pour la premiĂšre fois de ma vie, je mâĂ©tais laissĂ© aller Ă aimer, quand bien mĂȘme nous nous Ă©tions promis de ne jamais tomber dans le piĂšge de lâamour. Je mâĂ©tais fait avoir. Et maintenant je ne voulais plus que cela cesse. Je la voulais, encore et feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă 2019 â everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cĆur est trop lourd Ă porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. âŒâČâŒTW sexe Les gouttes d'eau frappĂšrent ton corps nu avec force. Te rappelant Ă quel point tes sentiments Ă©taient violents pour celui que tu partageais la douche. Tu te rappelais du premier cap ou pas cap. Ou tout avait commencĂ©. Ăa avait commencĂ© par un simple " t'es cap d'embrasser la personne la bas ?". Alors que tout le monde savait qu'elle Ă©tait en couple depuis des annĂ©es avec son compagnon. Quand il te lâavait embrassĂ©, tu l'avais trouvĂ© ahurit. Ce n'Ă©tait pas ton truc de briser des couples. Toi qui au fond cherchait que ça. Que quelqu'un te porte autant de gestes que peut ĂȘtre un couple. C'est quand il avait touchĂ© la case provocation que tu y Ă©tais allĂ©. Et qu'une fois le cap rĂ©alisĂ©, tu lui avais glissĂ© qu'il en sera jamais cap de coucher avec le premier mec qu'il regardait. Tu savais que tu allais gagner. Qu'Alden Ă©tait un homme Ă femmes. T'Ă©tais tombĂ© de haut quand il Ă©tait revenu tout souriant et t'avais glissĂ© la chaĂźne autour du cou. C'est comme ça que ça avait commencĂ©. Un putain de jeu. Tu te savais mauvaise perdante. Il en profitait. Et au fur et Ă mesure que ce jeu prenait place dans ta vie, t'en tombais amoureuse. Comme ça. D'un seul coup. Car il t'apporta plus d'attention que quiconque ne t'avais jamais adressĂ© jusqu'Ă la. Du mal oui. Alden Ă©tait le feu interdit. Et toi tu adorais t'y approcher au point que tu as fini par te brĂ»ler les dĂ©posas un baiser sur son dos quand tu entends sa rĂ©ponse. M'aimer. C'Ă©tait aussi un cap ou pas cap que l'un avait dis. Que jamais on tomberait amoureux de l'autre. Toi t'Ă©tais plongĂ©e dedans finalement et tu ne lui avais rien dis. Car t'avais dis que tu Ă©tais cap. Que ce n'Ă©tait qu'un putain de jeu. Malsain. Toxique. A voyant Alden se tourner et dĂ©poser ses lĂšvres sur les tiennes, tu compris une chose. T'Ă©tais foutu. Alden Ă©tait mieux que l'adrĂ©naline. Mieux que la nicotine que tu fumais en quantitĂ© astronomique. Mieux que la drogue que tu t'enfilais en soirĂ©e par esprit de compĂ©tition. Mieux qu'un orgasme. Alden. Ce nom Ă©tait gravĂ© en toi au fer rouge. Sa marque Ă©tait gravĂ©e Ă l'encre rouge sur ta peau. Tu ne voyais que lui. Tu ne voyais que ses mains sur ton corps. Tu voyais que les gĂ©missements que tu poussais et les frissons qui te donnĂšrent la chair de poule. Tu voyais que lui. Et putain qu'est ce que c'Ă©tait bon. Tu traçais de tes ongles le dos de ton amant. Tu le marquais comme tien. Ton Ă©niĂšme gĂ©missement mourut dans les lĂšvres d'Alden. Il n'y avait rien de tendre entre vous. Tu sentis l'excitation montĂ©. Tu connaissais son corps par cĆur et il connaissait le tien par cĆur. Il savait oĂč toucher pour t'envoyer au septiĂšme PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cĆur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDADerniĂšre Ă©dition par Eden Ross le Ven 26 AoĂ» - 121, Ă©ditĂ© 1 fois Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă 2024 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă 2027 â everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cĆur est trop lourd Ă porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. âŒâČâŒTW sexe " T'es cap toi qu'on tombe pas amoureux de l'autre ?". Ses mots tu les avais prononcĂ©s un mois aprĂšs que tu avais commencĂ© ton jeu avec Alden. Un mois ou tu avais sentis tous tes sens en Ă©veil. En alerte de la moindre parcelle de caresse. Du moins regard jetĂ© en ta direction. Du moindre mot qui coulait dans ses lĂšvres. C'Ă©tait qu'un Ă©niĂšme pari. Il tâavait dis qu'il Ă©tait cap et t'avais balancĂ© le mĂȘme Ă la gueule. Juste pour voir qui allait ĂȘtre le gagnant des deux. Plus tu restais en sa compagnie, plus tu te sentais perdre pied. C'Ă©tait qu'un jeu. Un putain de jeu de cap ou pas cap qui aurait dĂ» rester sur des paris simples. CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cĆur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDADerniĂšre Ă©dition par Eden Ross le Ven 26 AoĂ» - 121, Ă©ditĂ© 1 fois Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă 2030 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Hier Ă 2203 â everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cĆur est trop lourd Ă porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. âŒâČâŒTW sexe CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cĆur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDADerniĂšre Ă©dition par Eden Ross le Ven 26 AoĂ» - 120, Ă©ditĂ© 1 fois Alden Knightmembers too many secrets Hier Ă 2322 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Eden Rossmembers too many secrets Aujourd'hui Ă 120 â everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cĆur est trop lourd Ă porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. âŒâČâŒTW sexe CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cĆur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDA Alden Knightmembers too many secrets Aujourd'hui Ă 215 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to Ă©dition par Alden Knight le Ven 26 AoĂ» - 1735, Ă©ditĂ© 1 fois Eden Rossmembers too many secrets Aujourd'hui Ă 1708 â everyone's damaged> Quand tu portes le poids du monde sur tes Ă©paules. Alors que le poids de ton propre cĆur est trop lourd Ă porter. Et bien, je sais que tu as peur que les choses soient toujours comme ça. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise journĂ©e. Et je sais que ça semble sans espoir. Et je sais Ă quel point tu es proche du bord maintenant. Alors j'ai Ă©crit cette chanson pour dire que les choses ne seront pas toujours pas comme ça, non. C'est juste une mauvaise journĂ©e, pas une mauvaise vie. âŒâČâŒTW addiction, sous-entendu drogue Tu sentais ton cĆur battre plus vite quâil ne le devait. Il faisait un marathon et sâil nâavait pas Ă©tĂ© protĂ©gĂ© par tes cĂŽtes, tu Ă©tais sur que ton cĆur aurait bondit tellement il battait fort. Ses Ă©motions, ses sentiments aussi violents que passionnĂ©, il nây avait quâAlden pour te les faire ressentir. Tes jambes sâĂ©taient enroulĂ©es autour de sa taille et ta bouche formait un o » quand lâorgasme Ă©tait venu frapper Ă vos portes. Il Ă©tait bon. Incroyablement bon. Il te faisait perdre pied. Tu oublias ce quâil se passait dehors, loin de cet appartement. Tu oublias la douleur que tu avais ressentis quand celui que tu pensais ĂȘtre ton pĂšre tâavais dis en rĂ©alitĂ© tu nâĂ©tais quâune erreur. Que le fruit dâune infidĂ©litĂ©. Non. Tout ce qui comptait Ă prĂ©sent Ă©tait vous deux. Votre bulle qui vous protĂ©geait contre le monde extĂ©rieur. Vous deux contre le reste du monde. Babe et Alden. Tu ne savais pas pourquoi tu lui avais jamais dis ton prĂ©nom. Par sĂ©curitĂ© au dĂ©but mais parce que tu aimais entendre ton surnom dans cette bouche. Ăa sonnait si sensuel, si vivant que tu nâavais jamais eu le cĆur de lui dire ton prĂ©nom. Et il semblerait que ça nâavait aucune importance pour Alden vu quâil ne tâavait jamais posĂ© la question. Car votre prĂ©nom ne comptait pas. Seuls vos deux ĂȘtres torturĂ©s comptaient. Tu lâaimais avec une telle force que tu pourrais en crever sâil te demandait de le faire. Tu pouvais tout faire pour lui. Tâavais dĂ©jĂ finis en garde Ă vue Ă cause de lui. Tu avais dĂ©jĂ sniffer de la coke parce quâil te lâavais demandĂ©. Oui. Sâil te donnerait dâen finir avec ta vie, tu le ferais sans hĂ©siter. Car câĂ©tait ça ton amour pour lui. Puissant. Violent. Dangereux. Meurtrier. Et Ă cet instant, seul lui comptait. Seules ses lĂšvres qui se posĂšrent sur les tiennes comptaient. La passion avait laissĂ© place Ă une tendresse qui te donnait des frissons. CâĂ©tait aussi ça votre amour. Deux cons qui nâassumaient pas leurs sentiments mais qui les ressentaient puissance milles. Et que câĂ©tait rĂ©ciproque. Tu nâavais pas besoin de mots pour le dire. Tu Ă©tais convaincu quâil savait que tu Ă©tais tombĂ©e amoureuse de lui. Ton cĆur dans ta poitrine battait tellement fort et vite quâil aurait fallu ĂȘtre sourd pour ne pas lâentendre. MĂȘme Calista te le disait. DâarrĂȘter tout ça car tes sentiments pour lui Ă©tait bien trop violent pour que ça soit sain. Mais tu tâen fichais. Alden Ă©tait ton tout. Et chaque jour sous lâexcuse dâun cap ou pas cap, tu revenais le voir. CâĂ©tait plus fort que toi. Ton corps rĂ©clamait son corps. Ton Ăąme voulait faire quâun avec la sienne. Et ton cĆur voulait rejoindre ses bras si rĂ©confortant mais si dangereux Ă la lĂšvres approfondir le baiser alors que tu lâobligeais Ă te lĂącher. Tes bras lâavaient encerclĂ© et tu tâĂ©tais mis sur la pointe des pieds pour ne jamais arrĂȘter ce baiser. Comme si câĂ©tait ça qui comptait pour vous. Tu Ă©tais sur dĂšs lâinstant oĂč tu allais rompre ce baiser, tâallais en souffrir. Lâeau de la douche continuait Ă tomber et tu laissas lâeau effacĂ© les vestiges de votre acte dâamour. Car mĂȘme si vous appelez ça de la baise, vous savez pertinemment que vous faisiez lâamour. Mais vous Ă©tiez trop fier pour oser le dire. Trop compĂ©titif. Le manque dâair arriva et tu soupiras quand tes lĂšvres sâenlevĂšrent des siennes. Une piqure de douleur te le rappela. TâĂ©tais devenu addict Ă Alden comme tu lâĂ©tais de la clope. Tu souris en fermant les yeux et laissa le jet dâeau venir Ă©craser sur ton visage. Pour te rĂ©veiller de lâĂ©tat second que cet orgasme vous avez mis. Le manque premier passĂ©, le deuxiĂšme manque tapa dans ta poitrine. Tu avais besoin dâune clope. Tu attrapas le gel douche et te le passais sur ton corps. Provocante, tu laissas glisser te doigts sur le torse dâAlden pour venir dĂ©poser du gel douche et descendis plus bas. Pour nettoyer tout ça. Tu nâavais pas besoin de mot pour dire les choses. CâĂ©tait devenu naturel et si tu avais envie dâĂȘtre honnĂȘte avec toi-mĂȘme, câĂ©tait un comportement de couple. Une fois fini, tu laissais abattre lâeau qui te nettoyait. La douche fini, tu en sortis avec un dernier regard Ă Alden. Je vais fumer tâen veux une ? » Ou dâautres choses vu ce quâil avait laissĂ© sur la table. Tâavais pas besoin de lui dire pour quâil comprenne le sous-entendu. Tu trouvas un t-shirt dâAlden et lâenfila sur ton corps nu. Tu trouvas facilement ton paquet de cigarette et en sortis une. La premiĂšre de la journĂ©e. LâaprĂšs orgasme. La meilleure. Tu la glissas entre tes lĂšvres et lâalluma. La clope te fit un bien fou et partis tâinstallĂ© sur un meuble prĂšs dâune fenĂȘtre pour la fumer. Un des reflexes de maniaque que tu Ă©tais. CODAGE PAR AMATISAlden Knight_________________BAD LIFEOoh, c'est dur de sortir du lit quand tout est dans sa tĂȘte. Et plus rien n'a de sens comme un pansement sur un cĆur qui saigne. Je fais semblant de sourire et m'effondre et personne ne sait jamais que je suis une FRIMELDA Alden Knightmembers too many secrets Aujourd'hui Ă 1804 Everyone's damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? Tw drogue, addictions Le moment si prĂ©cieux se dissipa Ă regret. Aucun de nous deux ne mima mots.'Il nây avait que nos regards et nos corps qui se rĂ©pondaient en silence. Je la libĂ©rais en reprenant contenance, la laissait laver mon corps, passer le savon sur mes muscles en ne cessant de la regarder. Nâimporte qui dâextĂ©rieur aurait pu se moquer de nous voir ainsi, crevant lâĂ©vidence de nos sentiments. On le savait tous les deux sans doute, seulement nous Ă©tions bien trop fiers pour lâassumer. CâĂ©tait pas notre genre. Nous Ă©tions Ă©pris de libertĂ©, cassĂ©, dĂ©vastĂ©, trop peureux pour voir la vĂ©ritĂ©. Mes yeux se posĂšrent sur son cou, sur le cadenas quâelle portait, la chaĂźne qui reposait le long de ses clavicules. Il ne nous quittait jamais, ce collier. MĂȘme pas sous la douche. Comme gravĂ© sur notre peau. LâidĂ©e de le faire graver un jour mâeffleura, avant que lâeau ne se coupe, me sortant de mes pensĂ©es. Lâair pĂ©nĂ©tra dans la douche alors que jâobservais ses fesses rebondies tandis quâelle partait se chercher une clope. Jâarrive. »Mon corps agit de lui mĂȘme. Ma main passa dans mes cheveux pour les remettre en arriĂšre alors que jâattrapais une serviette pour mâessuyer rapidement. Je remis mon boxer avant de sortir, prenant soin dâouvrir la fenĂȘtre au passage. Mes pas me conduire droit dans la chambre. Mon regard plana sur elle alors que lâodeur de la cigarette planait Ă nouveau dans la piĂšce. Elle Ă©tait beaucoup trop belle, Babe. Encore plus avec mon t-shirt sur le dos, arrivant Ă la limite de ses fesses. Elle aimait se poser lĂ , Ă la fenĂȘtre. Et moi jâaimais la regarder. Je cherchais rapidement son paquet de clopes, en glissant une entre mes lĂšvres avant de me diriger vers le plateau rempli de poudre. Tout ce sexe mâavait presque fait oublier le manque. Presque. Je mâasseyais Ă la table, attrapais les cartes qui traĂźnaient lĂ et entrepris de faire de belles traces. Tâen veux ? »Je lâinterrogeais en tournant Ă peine la tĂȘte vers elle. Elle Ă©tait dans mon dos, hors de mon champ de vision. Les lattes prĂȘtes, je mâen enfilais une comme si jâavais fait ça dans ma vie, ce qui Ă©tait le cas, en vĂ©ritĂ©. Rien de plus banal pour moi. Je projetais la tĂȘte en arriĂšre, inspirant en frottant mon nez devenu blanc. Je fermais les yeux quelques secondes, apprĂ©ciant le simple fait de mâenfiler ma came. Lâinstant suivant, une flamme brĂ»la le bout de ma clope restĂ©e accrochĂ©e Ă ma bouche. Jâaccrochais la tĂ©lĂ©vision du regard, juste en face de moi, soupirant de bien ĂȘtre Ă la premiĂšre bouffĂ©e de tabac. Les images dĂ©filaient sans que jây prĂȘte rĂ©ellement attention. Un bruit de fond, juste pour occuper mon esprit malade. Ăviter le silence trop pesant. Jâavisais mon smartphone, jurant au passage. Jâavais des appels en absence. Des appels importants. Je rappelais mon interlocuteur en me levant de ma chaise, rejoignant Babe Ă la fenĂȘtre. Le combinĂ© vissĂ© Ă lâoreille, ma main libre tomba dans le dos de la belle en des caresses distraites. Le regard perdu Ă la fenĂȘtre, jâattendais que les dĂ©tonations cessent. Messagerie. Et merde. Fais chier. »Je balançais le tĂ©lĂ©phone sur le lit, posant mes yeux sur la rousse. Tâas faim ? Je vais cuisiner un truc. »xx feat. xx codage Lilie - icon chrysalis Eden Ross_________________ Hate and love I want you, so badly. I want your lips and your skin, your soul and your love. I want to hurt you as much as you hurt me. Because you belong to me. Contenu sponsorisĂ© Everyone's damaged - EdenQuest ce que vous supportez pas chez un mec ?. Pour ma part je deteste les mecs TROP TIMIDE, qui n'on jamais rien Ă dire et les mecs qui n'ont pas confiance en eux mĂȘme !!!! Mar 15 Sep 2020 - 1655Cache-cache au pays de Mickey Alvario & AutumnAutumn nâen revenait pas de devoir se lever si tĂŽt un samedi matin alors quâelle Ă©tait en congĂ©, mais, la demoiselle nâavait pas rĂ©ellement le choix. Son chef dâĂ©quipe avait organisĂ© cette journĂ©e Ă Disneyland dans lâespoir de ressouder leur Ă©quipe. Car, les trois derniĂšres semaines avaient Ă©tĂ© riches en disputes, bagarres, d'erreurs et plaintes de patients. Bien Ă©videmment quand rien nâallait au sein d'un groupe, le travail en pĂątissait. Autumn nâĂ©tait pas rĂ©ellement concernĂ©e car elle nâavait de problĂšme avec aucun dâentre eux. Mais elle faisait partie du groupe, elle devait ĂȘtre solidaire et puis le patron pensait quâelle pouvait ĂȘtre dâun rĂ©el renfort. Elle, qui, dâordinaire avait le don dâapaiser les choses, de dire ce qui nâallait pas et mĂȘme si elle le faisait sâen prendre de gants cela avait toujours marchĂ©. Car mĂȘme si la vĂ©ritĂ© est difficile Ă entendre, elle nâen reste pas moins la vĂ©ritĂ© et lâentendre, la confronter Ă souvent du bon. VoilĂ pourquoi son rĂ©veil sonnait Ă 7h30 du matin. VoilĂ pourquoi elle se levait en rechignant. Ce matin, elle nâirait pas courir, elle se dirigeait donc naturellement dans la salle de bain oĂč elle prit sa douche, puis, elle sâhabilla, enfilant un petit ensemble culotte et soutien-gorge en soie blanche, un jean bleu dĂ©lavĂ© lĂ©gĂšrement trouĂ© car elle dĂ©testait les jeans avec deux Ă©normes trous aux niveaux des genoux qui donnaient lâimpression de sâĂȘtre pris une grosse gamelle. Ensuite elle passa un petit haut vert et blanc qui se nouait dans le cou et laissait apparaĂźtre de temps Ă autre son nombril. Elle choisit pour l'occasion de porter sa paire de baskets noires. Elle sâaspergea dâun peu de Lolita Lempicka, se coiffa et prĂ©fĂ©ra laisser ses cheveux dĂ©tachĂ©s. Ayant quelques minutes devant elle, elle bu un cafĂ© et mangea une brioche mais pas le temps de finir, elle entendit klaxonner dans la rue et en vĂ©rifiant par la fenĂȘtre elle aperçu son chef et une partie de lâĂ©quipe dans un mini-bus. Elle ouvrit la fenĂȘtre, leur fit un signe, puis se dirigea vers la porte dâentrĂ©e. Au passage, elle attrapa un sac-Ă -dos et ses clĂ©s, puis elle referma la porte. Le trajet fut un peu long et surtout trĂšs calme, elle aurait bien aimĂ© un peu de musique pour dĂ©tendre lâatmosphĂšre mais que voulez-vous. Monsieur le chef avait dĂ©cidĂ© que le silence Ă©tait propice aux discussions ce qui eut pour rĂ©sultat soit un silence de mort, soit un brouhaha incommensurable avec cris et disputes qui lui dĂ©clencha un mal de crĂąne horrible. Elle fut plus que ravi de descendre de ce vĂ©hicule. Et ⊠de faire la queue. GĂ©nial je sens que cette journĂ©e va ĂȘtre MERDâŠveilleuse. Elle se reprit rapidement en apercevant le regard de son patron posĂ© sur elle. Autumn lui lança un large sourire et comme une gamine elle leva les pouces. Genre GĂ©nial ! Trop cool ! Câest top, on va sâĂ©clater. Mais son patron nâĂ©tait pas dupe, il savait pertinemment ce quâelle pensait et il la gratifia dâune lĂ©gĂšre grimace un petit sourire pincĂ©, tout en levant les yeux au ciel. Avançant peu Ă peu, mais surtout lentement, trĂšs lentement, Autumn regardait autour dâelle. Quand son regard se posa sur une file, un peu plus loin, sur sa droite. Une silhouette lui semblait commune. Elle se mit sur la pointe des pieds comme pour prendre de la hauteur. Elle ne le voyait pas bien. Mais ⊠il semblait quâil sâagissait bien de lui. Encore ! Ce nâĂ©tait pas quelquâun quâelle connaissait mais ⊠au contraire ⊠un inconnu. Un jeune homme quâelle ne cessait de retrouver sur sa route. La premiĂšre fois, elle lâavait aperçu Ă lâhĂŽpital. Puis la seconde fois ce fut ⊠Hum ⊠à la terrasse dâun cafĂ© et la troisiĂšme fois de nouveau Ă lâhĂŽpital, puis une autre fois dans la rue Ă la sortie dâun cinĂ©ma et une autre fois dans un bar. Ils ne cessaient de se croiser, leurs regards se croisaient parfois, il est arrivĂ© une ou de fois quâils se sourient oĂč se fassent des signes mais jamais ils ne sâĂ©taient parlĂ©. Elle ne pouvait pas croire quâil Ă©tait lĂ lui aussi. CâĂ©tait impossible ! Sa file avança, elle en fit de mĂȘme, son collĂšgue lui posa une question, elle le regarda pour lui rĂ©pondre et quand elle se tourna de nouveau. Lâinconnu avait disparu. Ce devait ĂȘtre une erreur. Elle sâĂ©tait forcĂ©ment trompĂ©e. Elle soupira et secoua la tĂȘte tout en sâinsultant intĂ©rieurement. *Tu es une idiote ma pauvâfille. Et une folle par dessus le marchĂ© car tu as des visions maintenant. *ENFIN ⊠AprĂšs de longues, trĂšs longues minutes qui lui parurent interminables. Notre infirmiĂšre et son groupe de collĂšgues finirent enfin par franchir lâentrĂ©e du parc. Leur chef, leur remettait les plans du parc, il pensait que sâĂ©tait ridicule de tous rester ensemble, il proposait donc de faire trois groupes de quatre. Mais, Autumn nâĂ©coutait rien. Que voulez-vous ?! Elle avait beau penser quâelle Ă©tait idiote et quâelle avait rĂȘvĂ© elle ne pouvait sâempĂȘcher de regarder autour dâ tu sera avec Gabi, JacâŠ. Autumn tu es avec nous ? AUTUMN !!!??? EUH oui ?!!! Oui prĂ©sente Monsieur ! Tu tâfous de moi ? Tu es tout sauf prĂ©sente ⊠tu es carrĂ©ment Ă mille lieux de lĂ . Concentre-toi ma belle. Alors, premiĂšrement, cânâest pas un exercice dâincendie donc âŠ. On se calme, pas besoin dâĂȘtre si sĂ©rieux. DeuxiĂšmement, on nâest plus des gosses, je pense quâon peut se gĂ©rer. Et troisiĂšmement, si tu mâappelles encore ma belle, il va te falloir une paire de bĂ©quille pour pouvoir marcher. Elle finit sa phrase avec un lĂ©ger sourire. Autumn avait du caractĂšre, et elle avait toujours sa façon Ă elle de dire les choses, toujours franchement mais assez souvent avec une dose dâhumour ou de sarcasme pour que la pilule passe mieux. Allez les enfants ⊠que ceux qui veulent faire partie de mon groupe lĂšve la main ! Elle choisit trois personnes parmi ceux qui avait levĂ© la main et dâun signe de l'index elle les invitait Ă la suivre. Allons nous amuser !!! On se retrouve pour le dĂ©jeuner. Elle fit un salut de la main autres membres. Et sâengouffra dans la foule. Elle nâavait aucune idĂ©e de par quoi commencer, elle se laissa guider par ses compagnons. Oooooh de la barbapapaaaa !!! Elle se dirigea vers le stand qui pour le moment nâavait aucun client puis elle commanda une Ă©norme barbapapa. CâĂ©tait le matin mais elle sâen fichait, elle adorait trop ça pour attendre. Elle regardait le pro faire, et en avait lâeau Ă la bouche. Quand âŠ. Bordel ⊠câest bien lui ⊠jâsuis pas folle ⊠hein ?!!! Le gars, il Ă©tait lĂ , au loin, droit devant, dans la foule. Elle le suivait des yeux, sans pouvoir bouger. Vite ⊠vite âŠ. viiiteee Elle pressait le propriĂ©taire du stand qui ne savait pas du tout ce qui lui prenait. Il faisait de son mieux pour rĂ©ussir sa barbapapa. Il la lui tendit, elle lâattrapa vivement et le paya sans attendre la monnaie. Mais de nouveau, il avait disparu. Elle tourna sur elle-mĂȘme tout en se demandant si finalement son cerveau nâavait pas des bugs. " Une tumeur ? Nooon..... dĂ©conne pas ! " Et ....De toute façon si ça avait Ă©tĂ© lui. Qu'aurait-elle fait ? Lui aurait-elle sauter dessus ? Lui aurait-elle parlĂ© ? Et de quoi ? Non, probablement pas, elle ne l'avait jamais fait jusque lĂ . Mais elle voulait en avoir le coeur net. Ătre certaine que ce n'Ă©tait pas une vision, son esprit qui lui jouait des tours. Elle aperçu ses amis et les rejoignit, ils Ă©taient assis en train de boire un cafĂ©. Jackie qui la connaissait bien lui avait commander un cafĂ© long avec un sucre et demi. Elle le remercia et prit place autour de la table, tout en mangeant de sa barbapapa. Elle se rĂ©galait, elle en proposa Ă ses collĂšgues qui parurent ravis. J'adore ce truc, son odeur, son goĂ»t, ça me rappelle mon enfance. Elle en mangea mais sans faire exprĂšs un morceau se colla sur son nez et un autre sur son menton. Ce qui ne manqua pas de faire rire ses amis. Mar 15 Sep 2020 - 1907 Cache-cache au pays de Mickey Hanwwww mais qu'est-ce que je fous lĂ ! »La plainte qui sortait de ma bouche voulait tout dire. Depuis que nous Ă©tions arrivĂ©, je n'arrĂȘtais pas. Il fallait dire que ça m'agaçait, ce genre d'excurtions, mĂȘme Ă Disney. Les files d'attentes, c'est ce que je dĂ©testais le plus. Le monde, encore, ça allait, mais attendre une heure pour deux minutes de plaisir, ça m'agaçait profondĂ©ment. Pourtant, j'Ă©tais quelqu'un de patient. Surtout lorsqu'il s'agissait d'obtenir ce que je voulais. Mais lĂ , c'Ă©tait impossible. ArrĂȘte de te plaindre Alvi. C'est pas si terrible. T'es vraiment qu'un sale gamin. »Je roulais des yeux derriĂšre mes lunettes de soleil. Pourquoi j'avais acceptĂ© de les suivre au juste ? Ah oui, parce que je n'Ă©tais encore jamais venu ici. Et je devais avouer que ça faisait partie de mes rĂȘves de gosse, un peu. Je n'avais encore jamais eu l'occasion, mĂȘme gosse, de dĂ©couvrir le parc. Ce n'Ă©tait certainement pas dans la tĂȘte de mes parents de dĂ©penser du fric dans des choses aussi inutiles Ă leur yeux, en plus du fait qu'il aurait fallu prendre un avion pour venir jusqu'ici du Chili. Alors, oui, j'avais sautĂ© sur l'occasion, lorsque Matt et Alex m'avaient proposĂ© de les accompagner. Je tenais un peu la chandelle entre eux, mais ça, je m'en fichais. Ce qui comptais, c'Ă©tait le parc. Je m'Ă©tais Ă©merveillĂ© tel un gosse dĂšs que j'avais apperçu l'entrĂ©e du parc. Mes yeux trainaient partout. Je voulais tout voir, tout dĂ©couvrir. Mais ma bonne humeur c'Ă©tait vite essoufflĂ©e, lorsque nous avions dĂ©jĂ dĂ» faire la file dĂšs l'entrĂ©e. C'Ă©tait ça, la rĂ©alitĂ© du parc. Beaucoup d'attente. Beaucoup trop pour il Ă©tait aussi propable que mon Ă©tat de nerfs Ă©tait dĂ» Ă mon manque, qui commençait Ă se faire sentir. Confortablement installĂ© dans mon siĂšge, Ă l'une des nombreuses terrasses, je poussais avec mon pied pour me mettre en Ă©quilibre et avoir une meilleure vue de ce qui se passait autour de nous. Un groupe de filles un peu plus loin attira mon attention, gloussant beaucoup trop pour que ça ne se remarque pas. Mais mon attention dĂ©via rapidement sur une jeune femme juste derriĂšre, assise avec ses amis. Est-ce que c'Ă©tait elle ? Mon inconnue ? Mes lunettes se baissĂšrent sur mon nez alors que je stabilisais ma chaise avec mes pieds. Oui, c'Ă©tait elle. Son visage, je l'avais assez souvent vu ses derniĂšres semaines pour ne plus qu'il y ai de mal entendu. Je la reconnais entre mille, Ă prĂ©sent. Elle Ă©tait lĂ , avec sa barbapapa Ă la main, distribuant sa part Ă ses amis. Mon sourire planait sur mes lippes, jusqu'Ă se faire plus franc lorsque le dĂ©lice sucrĂ© se dĂ©posa sur son nez et son menton. C'Ă©tait... Alvi ! »Je sursautais vivement, manquant de tomber de ma chaise au passage. Quoi ?! »Mes deux amis Ă©taient debout devant moi, prĂȘts Ă partir. J'avais visiblement manquĂ© un Ă©pisode, trop occupĂ© Ă mater mon inconnue de loin, visiblement. Viens, on y va. Les manĂšges nous attendent. » Allez-y, je vous rejoins. » Non Alvi. T'arriveras pas Ă nous retrouver et tu le sais. »Je roulais Ă nouveau des yeux en laissant ma tĂȘte choir en arriĂšre. Je tournais la tĂȘte vers mon inconnue, qui Ă©videmment, venait de disparaitre. Une moue frustrĂ©e apparu sur mon visage. Fuck. Encore ratĂ©. Ăa va, j'arrive. »Mains dans les poches, je me relevais pour quitter ma chaise Ă mon tour et rejoindre mes potes, non sans lancer des regards autour de moi dans l'espoir de la revoir. Ăa faisait des semaines, que nous nous croisions un peu partout Ă Plus ou moins depuis que j'avais emmĂ©nager, en fait. A l'hĂŽpital, Ă la sortie d'un bar, etc. Et jamais encore, je n'avais rĂ©ussi Ă l'aborder, ce qui Ă©tait franchement un exploit me concernant. D'habitude, je n'hĂ©sitais pas. Je fonçais sans me soucier du reste, mais avec elle, c'Ă©tait... DiffĂ©rent. Je ne savais pas expliquer pourquoi. Elle dĂ©gageais un truc, quelque chose qui faisait que contrairement Ă toutes les nanas qui croisaient ma route, je n'avais pas envie de me jeter dessus. Enfin, pas comme d'habitude. Mais, aprĂšs que l'on se soit croisĂ©s aussi souvent, ça commençait Ă me dĂ©manger furieusement. Et, elle Ă©tait lĂ . A nouveau. Je me promettais de tenter quelque chose, cette fois. D'aller lui parler, de briser la glace autrement que par un signe de tĂȘte ou un sourire au loin. Il le fallait. Maison hantĂ©e, nous voilĂ ! »Rien qu'Ă l'appellation de ce nom, je sautillais, retrouvant ma bonne humeur en glissant mes bras sur les Ă©paules de mes potes pour les faire avancer plus vite. Un bon frisson, dans le noir complet, j'avais hĂąte ! c DÎNDELION Mar 15 Sep 2020 - 2004Jackie avait un sourire amusĂ© accrochĂ© Ă ses lĂšvres, il prit une serviette en papier pour essuyer la barbapapa sur le visage de sa collĂšgue et amie. Il aurait aimĂ© plus mais Autumn avait Ă©tĂ© trĂšs claire avec lui elle ne voulait pas d'une relation sĂ©rieuse et surtout elle ne mĂ©langeait pas travail et plaisir. Alors ils n'Ă©taient que des amis ce qui ne lui suffisait pas mais il le supportait dans l'espoir qu'elle change d'avis, qu'elle finisse par craquer pour lui. Et si on dĂ©gustait nos cafĂ©s tout en faisant la queue au Big Thunder Mountain ? Hein ?! Hein !!! Charlie Ă©tait surexcitĂ©, Autumn ne pu rĂ©sister et explosa de rire, il avait l'air d'un enfant et elle trouvait cela si touchant. Finalement cette sortie n'Ă©tait pas une si mauvaise chose. Pour le moment elle passait du bon temps. Elle attrapa son cafĂ©, se leva, et se plaça Ă cĂŽtĂ© de Charlie. Allez !!! Allez on y va ???!!! Elle agissait comme une gamine, de bonne humeur, et comme souvent elle ne se prenait pas au sĂ©rieux, elle avait envie de s'amuser tout simplement. Les autres Ă©clatĂšrent de rire et se levĂšrent. De toute façon ils n'avait pas trop le choix. Tous les gens autour les regardaient bizarrement. Certains cependant Ă©taient trĂšs amusĂ©s et ne semblaient pas les ... je dĂ©teste rĂ©ellement faire la queue !!! Par chance, elle n'Ă©tait pas si longue que cela. Au bout de 30 minutes s'Ă©taient enfin Ă leur tour de monter Ă bord du train fou. Autumn commençait Ă ĂȘtre excitĂ©e, elle adorait les montagnes russes. Elle aimait se faire peur, les sensations qui l'envahissaient, son coeur qui battaient la chamade, son souffle et sa respiration qui se coupaient de temps Ă autres. Aaaaaaah La jeune femme se mit Ă crier quand la peur s'enveloppa, cette sensation Ă©tait magique, elle levait les bras et criait de joie plus que de peur. Quoique ... C'Ă©tait si enivrant. Mais dĂ©jĂ l'attraction touchait Ă sa fin. Quel dommage. Elle descendait du cĂŽtĂ© gauche. Alors que du cĂŽtĂ© droit les suivants commençaient Ă monter. Elle rejoignait le groupe, sortait du jeu et repassait devant l'attraction pour aller Ă la suivante. Les autres se battaient pour le prochain choix quand .... soudain ... sur sa droite, elle le vit. Elle s'arrĂȘta nette et fit deux trois pas en arriĂšre. Se bloqua, puis pivota. Il Ă©tait lĂ . Devant elle. Finalement tu existes, tu n'es pas une crĂ©ation de mon esprit. Elle croisait son regard. Elle en revenait pas qu'ils soient encore au mĂȘme endroit, au mĂȘme moment. Et si prĂšs. Elle n'en revenait pas non plus qu'il existe rĂ©ellement car Ă force elle avait finit par douter de son Ă©tat mental. Un sourire amusĂ© et heureux se dessina sur son visage. Attachez-vous le train fou va partir Autumn .... Autumn mais qu'est-ce que tu fais ? Allez vient !! Le train dĂ©marrait, Jackie attrapait Autumn par le bras et l'embarquait avec lui, alors qu'elle continuait Ă donner son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. Le bruit du train Ă©tait trop fort, il s'Ă©loignait, et elle aussi mais dans la direction opposĂ©e. Pourquoi lui avoir donnĂ© son prĂ©nom, son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone ? Elle en avait aucune idĂ©e, s'Ă©tait venu naturellement. Tu connais ce gars ?! Lui demanda surpris Jackie. Oui ... euh ... non ... seulement un inconnu. Et de nouveau un sourire naissait sur ses lĂšvres. Alors oĂč va-t-on ? Autumn Ă©tait toute lĂ©gĂšre, amusĂ©e, heureuse et tant d'autres choses encore. Elle ne pouvait pas expliquer ce qui lui arrivait, ce qu'elle ressentait. S'Ă©tait Ă©trange, nouveau mais agrĂ©able. ils semblaient devoir se croiser, alors elle le reverrait sĂ»rement. Au splash mountain. Mar 15 Sep 2020 - 2122 Cache-cache au pays de MickeyLa maison hantĂ©e nous tandit les bras. A nouveau joyeux comme un gosse, je courrais mĂȘme jusqu'Ă l'entrĂ©e, pillant juste derriĂšre la derniĂšre personne Ă faire la queue. De l'attente, encore de l'attente, toujours de l'attente. Seulement cette fois, ça ne rĂ©ussi pas Ă faire fondre ma bonne humeur. Nous nous engouffrions dans le manĂšge, qui nous guida Ă travers les piĂšces savamment dĂ©corĂ©es de la maison. Ăa ne faisait pas vraiment peur, mais je me surpris Ă frissonner et sursauter une fois ou deux avant que la sortie ne se profile. Une fois dehors, attendant les garçons, je souris de toutes mes dents. C'Ă©tait trop cool ! »Ils m'offrirent un regard amusĂ© alors que je glissais une cigarette entre mes lĂšvres, prĂȘt Ă les suivre jusqu'Ă la prochaine attraction. On tente le Jungle Cruise ? » T'as vu la file ? Nan, allons plutĂŽt au Big Thunder Mountain ! » C'est parti ! »Toujours avec autant d'en train, j'ouvrais notre marche, tirant sur ma clope de temps en temps. Mes yeux regardaient partout, s'imprĂšgnaient de toute l'ambiance semblant hors du temps propre au parc, tout en ne pouvant s'empĂȘcher de la chercher Ă nouveau. Si elle Ă©tait lĂ , nous finirions bien par nous croiser, non ? L'attraction se profila devant nous. Une file d'attente de plus. Par chance, celle-ci Ă©tait moins longue. Nous y Ă©tions dĂ©jĂ ! Le train remplit se prĂ©senta Ă nous. Les portes s'ouvrirent pour nous laisser prendre place Ă notre tour. J'Ă©tais tout excitĂ©, souriant Ă n'en plus finir en riant Ă gorge dĂ©ployĂ©e avec mes amis lorsque soudain, on attira mon attention. C'Ă©tait elle. Je me levais du siĂšge sans pouvoir m'en extirper complĂštement alors qu'elle s'approchait jusqu'Ă ma hauteur. Putain, pourquoi maintenant ? Ici ? Je captais Ă moitiĂ© les mots qui sortaient de sa bouche Ă cause du brouaha ambiant, me contentant d'un grand sourire alors qu'elle semblait rĂ©aliser que non, je n'Ă©tais pas une illusion sortie de son imagination. Incroyable n'est-ce pas ? »Sans me dĂ©partir de mon sourire, j'appris enfin son nom. Autumn, qu'elle cria Ă travers l'annonce du dĂ©part du train. Alvario ! » criais-je pour me faire dicta son numĂ©ro, mais un gars sorti de nulle part vint la tirer brusquement par le bras. Monsieur asseyez-vous ! »On me tira Ă mon tour, m'obligeant Ă m'asseoir alors que j'essayais d'entendre la suite de son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. C'Ă©tait peine perdue. C'Ă©tait quoi ce bordel Alvi ? »Je me tournais vers mes amis, qui me dĂ©visageait tous deux d'un drĂŽle d'air alors que je haussais les Ă©paules. C'Ă©tait... Une inconnue. »Le regard qu'ils me lançÚrent Ă cet instant me prouva que je n'Ă©tais pas crĂ©dible. Pourtant, il n'y avait rien de plus vrai. Je leur offris un sourire innocent avant que l'attraction ne dĂ©marre pour de bon. Autumn. J'avais au moins son attraction ci Ă©tait bien diffĂ©rente, Ă m'en soulever le coeur et provoquer mon euphorie alors que je criais Ă plein poumons. C'Ă©tait bien trop court Ă mon goĂ»t, mais le visage d'Autumn me revint vite en mĂ©moire, m'arrachant Ă ma frustration. J'essayais tant bien que mal de me souvenir les chiffres qu'elle m'avait dictĂ©e, mais c'Ă©tait impossible. Comment la retrouver ? Eh, ça va Alvi ? » Ăa va ouais... » C'est la meuf de tout Ă l'heure qui te met dans cet Ă©tat ? »Je relevais les yeux vers Matt, qui m'offrait un large sourire, fier de lui. Ouais. Ăa fait des semaines qu'on se croisent comme ça. C'est la premiĂšre fois qu'on arrive Ă se parler. J'ai que son prĂ©nom, ça me frustre vous avez pas idĂ©e ! »La main d'Alex atterit dans mon dos dans un soutien amicale. Quoi, toi, tu lui as pas encore sauter dessus ? Je suis impressionnĂ© ! »Je le gratifiais d'une grimace en lui lançant un coup de coude dans les cĂŽtes alors que nous reprenions notre marche Ă travers le parc. Ah ah, trĂšs drĂŽle ! » Allez ça va, on va la retrouver, ton inconnue » »Je relevais la tĂȘte. Il avait raison, bien sĂ»r que j'allais la retrouver, restait simplement Ă savoir quand. Et je fus déçu, aprĂšs avoir enchainĂ© les attractions pendant plus de deux heures, de ne pas retrouver sa trace. Peut-ĂȘtre qu'elle Ă©tait dĂ©jĂ repartie ? La dĂ©ception avait presque remplacer la frustration qui s'agitait dans mon ventre depuis que j'avais appris son nom. Je me rappelais les traits de son visage, si proche du mien alors que je faisais une pause dans les toilettes pour faire taire mon manque qui commençait Ă me rendre pale et nerveux. La poudre dans le nez, le sourire ravageur, je resortais pour retrouver mes amis une fois de plus. Et maintenant ? » Y'a un spectacle dans 10 min. » Super ! Faisons ça alors ! »Je leur emboĂźtais le pas. Au fil des heures, j'avais perdu le rĂ©flexe de la chercher Ă travers la foule. Je voulais arrĂȘter de me prendre la tĂȘte avec ça et profiter du reste de la journĂ©e comme il se devait. Si nous nous recroisions, tant mieux, sinon, tant baskets tracĂšrent mon chemin Ă travers le public qui venait regarder le spectacle, tout comme nous. Nous nous enfoncions Ă travers la foule pour avoir une bonne place. Pas trop prĂšs, mais pas trop loin non plus. Rendu plus guilleret par la poudre, j'avançais, Ă nouveau tout excitĂ©, sautillant d'une jambe Ă l'autre en attendant que cela commence. Je me tournais vers mes amis, une question primordiale brĂ»lant mes lĂšvres. Au fait... »Ma phrase n'eu jamais de fin, perdue dans le vent face au baiser qu'il s'Ă©changeait devant mes yeux. Ouep. Ma bouche se referma avant que je ne pince mes lĂšvres, me dĂ©tournant aussitĂŽt de la scĂšne qu'ils m'offraient pour plonger dans mon verre de biĂšre. Et puis, je la vis. Je relevais la tĂȘte de ma boisson, la dĂ©visageant de loin pour ĂȘtre sĂ»r de mon coup. Les cheveux longs chĂątains, le visage angulaire, le sourire craquant. Pas d'erreur, c'Ă©tait bien ne pris mĂȘme pas le temps de prĂ©venir mes amis. Mes pas me guidĂšrent jusqu'Ă elle Ă travers la foule. Je poussais et m'excusais auprĂšs de ceux que je dĂ©rangeais, jusqu'Ă ce qu'elle soit Ă portĂ©e de main. Le spectacle commença Ă cet instant prĂ©cis. DiscrĂštement, je m'arrĂȘtais juste Ă cĂŽtĂ© d'elle, l'air de rien, le sourire aux lĂšvres, les yeux rivĂ©s vers la scĂšne extĂ©rieure qui nous offrait sons et lumiĂšres. Tu n'es pas facile Ă trouver, tu le sais ? »Je dĂ©tournais le regard des danseurs qui venaient d'apparaitre sur scĂšne pour la regarder, elle. C'Ă©tait bien elle. Autumn. c DÎNDELION Mer 16 Sep 2020 - 1213Autumn et Jackie avaient rejoint le reste du groupe, ils se dirigeaient ensemble vers le Splash Mountain et Jackie ne pouvait quitter la jeune femme du regard. Le sourire lĂ©ger qu'elle affichait le rendait dingue. Pourquoi semblait-elle si lĂ©gĂšre et heureuse ? Pourquoi ne voulait-elle pas lui dire qui Ă©tait ce gars et d'oĂč elle le connaissait ? *Un inconnu ? tu parles !!* se disait-il. Et une fois arrivĂ©e Ă l'attraction, bien entendu, ils durent faire la queue. Mais pour une fois, Autumn ne se plaignait pas. Elle repensait au jeune homme, il n'Ă©tait plus rĂ©ellement un inconnu car Ă prĂ©sent elle connaissait son prĂ©nom Alvario. Mais surtout il Ă©tait bien rĂ©el. En mĂȘme temps, malgrĂ© les doutes qui l'avaient envahi ces derniĂšres semaines, au fond elle, ancrĂ© en elle, elle savait qu'il existait pour de vrai, qu'il n'Ă©tait pas une crĂ©ation de son esprit. Soudain, elle laissa Ă©chapper un petit rire, se remĂ©morant son attitude, comment avait-elle pu ? Pensait-elle intĂ©rieurement. Quand ...Comment tu as pu ? Pourquoi tu as donnĂ© ton numĂ©ro Ă un parfait inconnu. Ses pensĂ©es faisaient Ă©chos. Jackie se manifestait enfin. Cela faisait un moment qu'elle sentait son regard posĂ© sur elle, et sa frustration, sa jalousie mĂȘme sortait de tous les pores de sa peau. Que pouvait-elle lui rĂ©pondre ? Non, elle ne connaissait pas cet homme. Et non ce n'Ă©tait pas son genre de filer son numĂ©ro Ă n'importe qui. Elle ne savait que lui rĂ©torquer car elle-mĂȘme ne comprenait pas son propre sais pas .... C'est arrivĂ© comme ça ! L'instinct !Elle ne pouvait pas dire Ă Jackie qu'elle croisait cet homme depuis des semaines. Qu'il Ă©tait partout oĂč elle allait et qu'Ă force son visage Ă©tait incrustĂ© dans son esprit. Et que trĂšs souvent il lui revenait en mĂ©moire et qu'elle le cherchait parfois. Jackie ne pouvait comprendre cela, il paniquerait tout de suite. Il penserait que cet homme Ă©tait surement dangereux, qu'il devait la suivre, peut-ĂȘtre Ă©tait-il un harceleur. Autumn, ne pouvait l'expliquer mais tout au fond elle, elle savait que rien de tout cela Ă©tait possible. Le splash mountain Ă©tait une chouette attraction, trĂšs rafraĂźchissante, ce qu'elle su apprĂ©cier avec la chaleur qu'il faisait. Il Ă©tait bientĂŽt midi quand ils descendirent de l'attraction. Le tĂ©lĂ©phone d'Autumn se mit Ă sonner. *C'est pas possible!!!* Pensa-t-elle en se dĂ©pĂȘchant d'attraper son ?! et non ce n'Ă©tait pas lui, ce n'Ă©tait que James, son chef. C'est James, OĂč vous ĂȘtes ?En mĂȘme temps, elle doutait bien qu'Alvario n'ait pas eut la possibilitĂ© de noter son numĂ©ro voire mĂȘme de pouvoir l'entendre entiĂšrement. James la contactait pour les informer qu'il avait retrouvĂ© presque tout le monde et qu'ils les attendaient pour ... je transmets aux autres. On se retrouvent lĂ -bas. Autumn raccrocha, on pouvait lire la dĂ©ception sur son visage mais seul Jackie semblait comprendre pourquoi. Ce qui l'agaça un peu plus. Elle expliqua Ă la bande que James et les autres les attendaient dans un des restaurant du parc. Et tous les quatre prirent le chemin qui les mĂšnerait au fameux restaurant. Ils savourĂšrent un bon repas. Puis James dĂ©cida de changer les groupes. IdĂ©e que Jackie n'apprĂ©cia guĂšre car il souhaitait rester avec Autumn. Il espĂ©rait ainsi la tenir Ă l'oeil et Ă©viter tout nouvel incident. Mais qu'il se rassure, le reste de la journĂ©e se passa normalement. Ce fut une suite de longues heures d'attentes pour seulement quelques minutes de joie, de rire ou de cris. Mais rien de plus. Elle ne le croisa plus une seule fois et commença Ă penser qu'il Ă©tait rentrer chez lui. Mais elle ne dĂ©sespĂ©rait pas pour autant car ce n'Ă©tait pas son genre et aussi et surtout parce qu'elle Ă©tait bien dĂ©cidĂ©e Ă s'amuser avec ses collĂšgues. De nouveau son tĂ©lĂ©phone sonna, c'Ă©tait Ă nouveau James. Comme il Ă©tait dĂ©jĂ tard et qu'ils n'allaient pas tarder Ă rentrer, il avait dĂ©cidĂ© que tout le monde se retrouve au spectacle. Autumn et son groupe trouvĂšrent que c'Ă©tait une excellente idĂ©e. Sur place, il s'agissait de nouveau de faire la queue, de piĂ©tiner, de se frayer un chemin parmi la foule. Mais en plus il fallait retrouver le reste de l'Ă©quipe. Rien n'Ă©tait plus compliquĂ© que cela. Il y avait tellement de monde mais ... d'un coup. AUTUMN !!!Elle entendit crier son prĂ©nom, suivit d'un sifflement, elle fut surprise, elle chercha dans toutes les directions. Et... aperçu Jackie qui surpassait les spectateurs. Il agitait le bras dans tous les sens. L'espace d'une seconde elle pensa que peut-ĂȘtre ... mais non ... elle rĂ©pondit Ă son collĂšgue d'un signe de la main droite et difficilement elle le rejoignit, ainsi que les autres. Une musique magnifique et entraĂźnante s'Ă©levait, emportant totalement l'infirmiĂšre qui sentit son coeur battre un peu plus fort et tout son corps Ă©taient soudain envahit de frissons, qui ... ne firent qu'augmenter quand .... Tu n'es pas facile Ă trouver, tu le sais ? »Cette voix, cette phrase ... son coeur fit un bond dans sa poitrine. Elle Ă©tait envahit par tout un tas de sensations Ă commencer par la surprise, la joie mais aussi l'amusement. Un sourire lumineux Ă©claira soudain son visage alors qu'elle tournait la tĂȘte en direction de cette voix qu'elle avait entendu un peu plus tĂŽt dans la matinĂ©e. Son sourire se fit encore plus large et amusĂ©e. Elle se mordit la lĂšvre infĂ©rieure avant de lui rĂ©pondre. C'est parce qu'il ne faut pas me chercher. C'est ainsi que ça marche entre nous. depuis le premier jour. C'est le destin qui nous met sur la route de l' plongeait son regard dans le sien. Il Ă©tait si proche pour une fois qu'elle pouvait le toucher si elle le souhaitait. Mais sincĂšrement elle ne savait que faire. Il est vrai qu'elle aussi l'avait cherchĂ© du regard un bon moment et depuis si longtemps qu'elle avait fini par abandonner de nombreuses fois. Et Ă chaque fois qu'elle laissait tomber, il rĂ©apparaissait, comme pour jouer, la tenter. Mais dĂ©sormais, il Ă©tait lĂ , face Ă elle. Elle le regardait attentivement, ses cheveux Ă©taient lĂ©gĂšrement longs bruns et bouclĂ©s. Ses yeux Ă©taient trĂšs brillants, il Ă©manait d'eux une lueur Ă la fois sexy et espiĂšgle. D'ailleurs, elle ne pouvait l'expliquer mais il Ă©manait de lui quelque chose d'Ă©trange ou plutĂŽt de particulier. Quelque chose qu'elle ne parvenait pas Ă dĂ©terminer mais qui faisait de lui quelqu'un de diffĂ©rent, diffĂ©rent de tous les hommes qu'elle avait frĂ©quentĂ©. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce le jeu de cache-cache qu'il y avait entre eux et qui les liait d'une façon particuliĂšre. Ou peut-ĂȘtre Ă©tait-ce simplement qu'il Ă©tait un illustre inconnu, qu'elle semblait d'une certaine maniĂšre connaĂźtre, sans, en rĂ©alitĂ© ne rien savoir de lui. Je crois que c'est toi qui a gagnĂ© ! Tu vas devoir choisir ton prix. Elle Ă©tait toujours dans l'amusement. Elle ne savait absolument pas de quoi elle parlait ou ce qu'elle semblait lui proposer. Mais ça lui Ă©tait venu comme ça. Comme quand elle lui avait filer son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. De toute façon avec lui, rien n'Ă©tait normal, rien n'Ă©tait contrĂŽlĂ©, calculĂ©, voulut. Tout venait comme ça. Mer 16 Sep 2020 - 1302 Cache-cache au pays de MickeyElle Ă©tait lĂ , finalement. Son visage se tourna vers moi alors que je portais un petit sourire mutin sur mes lippes. Enfin. Depuis combien de temps est-ce que nous nous cherchions au juste ? Trop longtemps, si l'on Ă©coutait les battements de mon coeur qui semblait Ă prĂ©sent s'apaiser, maintenant que je l'avais retrouvĂ©e. A prĂ©sent, j'avais le loisir de la dĂ©tailler comme je le voulais. Elle Ă©tait rĂ©ellement ravissante, Autumn. Avec ses fines lĂšvres et son regard presque noir. Loin des standards, loin des midinettes qui croisaient habituellement ma route et finissaient dans mon lit avant d'avoir su dire ouf. C'Ă©tait diffĂ©rent. Elle Ă©tait diffĂ©rente. J'accrochais son sourire qui se fit plus franc, ces dents qui s'imprimĂšrent sur sa lĂšvre juste avant qu'elle ne me rĂ©ponde, que je retrouve enfin sa sourire s'illumina, amusĂ© par sa rĂ©partie. Je quittais briĂšvement son visage pour admirer le spectacle qui prenait de l'ampleur devant nous. Elle avait raison, finalement. C'est lorsque j'avais arrĂȘtĂ© de la chercher qu'elle m'Ă©tait apparue, comme Ă chaque fois que nous nous croisions. C'est ainsi que ça marche entre nous. Elle rĂ©sumait trĂšs bien la situation. MĂȘme si je ne croyais pas au destin. A nouveau, je l'admirais, alors qu'elle me dĂ©taillait sans gĂšne, apprĂ©ciant visiblement ce qu'elle avait sous les yeux. Je me retins franchement de taper la pose pour ses beaux yeux. Autumn ne paraissait pas le genre de nana Ă ĂȘtre facilement impressionnable par ce genre de choses. Au pire, cela pouvait la faire rire, mais j'avais beaucoup trop peur de la faire fuir, maintenant que j'avais rĂ©ussi Ă la retrouver, pour de bon cette nouveau, sa voix se fit entendre Ă travers la musique du spectacle qui nous Ă©tait offert. Une proposition. Une centaine d'idĂ©es perverses me traversĂšrent la tĂȘte, que je repoussais aussitĂŽt. Pas de ça avec elle, non. Je ne savais pas me l'expliquer, mais ce n'Ă©tait pas ce que je voulais. Je ne voulais pas gĂącher ce lien Ă©trange que nous avions crĂ©er entre nous pour une partie de jambes en l'air dans un coin, pour ne plus jamais la croiser aprĂšs. Ce qui Ă©tait trĂšs Ă©trange, me connaissant. Je pris le temps de la rĂ©flexion, les yeux vissĂ©s sur les danseurs qui faisaient leur show devant nos yeux, oubliant mĂȘme Ă quel point j'avais envie de monter sur scĂšne moi aussi. Je mordillais ma lĂšvre, incertain, avant d'Ă nouveau me tourner vers elle. Viens. »J'attrapais sa main pour la tirer Ă ma suite, guidĂ© par mon instinct sans me poser de questions. Ma biĂšre se fracassa au sol sans que j'y fasse attention alors que je l'embarquais dans une course folle Ă travers la foule. Tant pis pour le spectacle. Tant pis pour le reste du monde. Mes jambes s'emballaient Ă travers le parc sous mon rire espiĂšgle, jusqu'Ă s'arrĂȘter devant une attraction particuliĂšre. Impossible de me rappeler de son nom. C'Ă©tait un labyrinthe de miroirs. Une façon de continuer notre jeu de cache-cache Ă notre maniĂšre. La tĂȘte levĂ©e sur la dĂ©coration de l'entrĂ©e, je me tournais vers elle pour lui offrir un sourire Ă©tincellant, puis l'entrainait Ă l'intĂ©rieur. c DÎNDELION Jeu 17 Sep 2020 - 1728Pourquoi n'arrivait-elle pas Ă dĂ©coller son regard de lui. Lui qui parvenait Ă profiter du spectacle. Rhaaa c'Ă©tait pas son genre. Mais ... tout venait de lui ! Elle n'avait jamais Ă©tĂ© ainsi avant. Mais depuis son apparition dans sa vie elle avait l'impression de se conduire comme une adolescente. Bon d'accord, parfois, il lui arrivait d'ĂȘtre immature mais lĂ ... ça frĂŽlait la gaminerie.*ArrĂȘte enfin ... tu m'fais honte ... qu'est-ce qui te prends ?*Peut-ĂȘtre parce qu'elle voulait graver son visage dans son esprit. Ou peut-ĂȘtre avait-elle peut qu'il ne disparaisse encore, tout d'un coup, alors elle en profitait. Ou peut-ĂȘtre ni croyait elle pas encore. Peut-ĂȘtre Ă©tait-il un rĂȘve qu'elle faisait Ă©veillĂ© pour pallier Ă son ennui et sa vie si triste. Elle dĂ©posa alors sa main sur son bras, il Ă©tait rĂ©el. Il Ă©tait vraiment lĂ . La regard du jeune homme se posa Ă nouveau sur elle. Et elle ne pu que lui sourire. Et admettre ... qu'il avait gagnĂ© la partie. Comme si tout depuis le dĂ©but n'Ă©tait qu'une partie de cache-cache comme aurait pu y jouer deux gamins. Car finalement, lui aussi, avait admis l'avoir cherchĂ©e de son cĂŽtĂ©. Elle n'Ă©tait donc pas seule dans ce dĂ©lire. Seule Ă vouloir le voir, le retrouver, le connaĂźtre. Etaient-ils deux fous ? C'Ă©tait tout Ă fait possible, mais elle s'en fichait pas mal et au moins pour une fois elle n'Ă©tait pas seule dans son dĂ©lire. Viens. »Quoiiiii ?!! Mais dĂ©jĂ , il avait attrapĂ© sa main et l'entraĂźnait avec lui. Ensemble ils prenaient la fuite. Encore une fois elle ne savait ce qu'elle faisait, elle ne savait pourquoi ils fuyaient mais elle adorait cela. Elle se sentait si lĂ©gĂšre, si heureuse. Jackie criait son prĂ©nom. Et elle s'en fichait. Elle profitait de l'instant prĂ©sent avec ce total inconnu. Et ... s'Ă©tait si bon. Elle qui avait une vie parfois si posĂ©e et ennuyeuse et Ă l'opposĂ© parfois si difficile, cruelle. Depuis qu'il Ă©tait apparu comme un hologramme qui va et vient, elle se sentait comme ... libre. Comme si elle Ă©tait dans un rĂȘve et que rien n'Ă©tait vrai et donc que rien n'avait d'importance. Ils couraient la main dans la main sans savoir oĂč. Enfin, elle l'ignorait mais Alvario semblait connaĂźtre leur fou !!! On est cinglĂ©s ... Je sais mĂȘme pas qui tu es et ... j'M'EN FOU !!!!!Autumn Ă©clata de rire. Et enfin leur course folle s'arrĂȘta, ils Ă©taient arrivĂ© Ă destination. Il s'agissait de l'attraction avec les labyrinthe en miroirs. Notre infirmiĂšre se mordilla la lĂšvre infĂ©rieure, se mit Ă sourire et le regarda dans les yeux. Cette attraction avait un sens pour elle. Enfin, seulement avec lui, car sinon ce ne serait qu'un jeu. Mais, ici, Ă cet instant, avec lui. Ce jeu Ă©tait leur histoire. Attrapes-moi si tu peux !! Elle dĂ©posa un baiser rapide sur sa bouche et puis elle lĂącha sa main pour s'engouffrer dans l'attraction. ils n'avaient mĂȘme pas payĂ©, n'avaient donc pas de tickets mais elle s'en fichait, elle courait dans le jeu. Et elle tentait d'avancer le plus vite possible, sans trop se blesser, car souvent elle tapait dans un miroir. Elle ne pouvait s'empĂȘcher de rire et de regarder derriĂšre elle. Elle se sentait enivrĂ©e quand elle l'apercevait non loin. Ven 18 Sep 2020 - 305 Cache-cache au pays de MickeyElle rit, Autumn, elle crie Ă travers la foule Ă quel point nous sommes fous alors que je l'entraine dans ma course folle Ă travers le parc. L'adrĂ©naline de ma folie Ă©chauffe mes jambes qui avalent la route alors qu'elle me suit. Son rire Ă©clate Ă travers le vent. Il chante Ă mes oreilles. Elle s'en fou, de qui je suis. On s'en fou, de qui nous sommes, ça n'a aucune importance. Pas la moindre. Ce qui en a, ce sont les idĂ©es folles que notre rencontre si attendue Ă©veille en nous. L'extravagance de mon geste imprĂ©visible, sa main dans la mienne et mon coeur qui s'envole. L'art de tout oublier de nos vies, de nos amis, de tout ce qui nous entoure, le temps d'un pas s'arrĂȘtent devant le manĂšge. Mon regard espiĂšgle tombe sur elle, qui se mord la lĂšvre avant de sourire, entrainant le mien qui s'Ă©tire encore et encore, semblant ne plus vouloir se faner. Ses prunelles me trouvent, une fraction de seconde avant que sa voix me lance un dĂ©fi qui fait pĂ©tiller mon Ăąme. Elle m'embrasse, Autumn, elle goĂ»te mes lĂšvres pour la premiĂšre fois dans un baiser volĂ©. Trop chaste, trop frustrant, trop surprenant. Horriblement exaltant. La surprise me cloue sur place. Sa main me relĂąche. Je la suis du regard alors qu'elle s'enfonce dans l'attraction. Mes pieds agissent Ă ma place pour s'Ă©lancer Ă sa poursuite. J'entends son rire Ă travers le labyrinthe. Mes yeux attrapent son reflet, qui se rĂ©pĂšte tout autour de moi jusqu'Ă m'en rendre dingue. J'avance, cours aprĂšs la jeune femme en mĂȘlant mon rire au sien. Plus d'une fois, je vais trop vite. Plus d'une fois, je me fracasse presque contre les miroirs qui crissent sur mon passage. Plus d'une fois, je pense la surprendre alors que son reflet m'Ă©clate de rire au nez, avant de disparaitre aussitĂŽt. Je croise son regard muni de la mĂȘme frĂ©nĂ©sie, lui qui me dĂ©fie de la rattraper plus vite, pour en avoir encore. Pour ne plus la laisser s'Ă©chapper. Plus s'arrĂȘte. Je la fixe alors qu'elle me fait face. Le coeur battant, sourire aux lĂšvres, j'approche alors qu'elle recule. Et puis, elle disparait Ă nouveau, s'Ă©vade avant mĂȘme que j'ai pu croire que c'Ă©tait elle et pas une de ses copies. Elle va me rendre fou, Ă jouer ainsi avec mes nerfs et ma frustration. J'y suis presque. Mes doigts la frĂŽlent mais manque leur cible Ă chaque fois. Elle est vive, elle s'envole et s'Ă©chappe de ma prise tel le vent. Insaisissable. Enfin, le labyrinthe se referme sur nous. Un cul de sac. Elle est piĂ©gĂ©e, entourĂ©e par ses copies parfaites, Ă©clairĂ©es par les spots qui veillent sur nous. La course folle de mon coeur bat contre mes oreilles. Je reprends mon souffle alors qu'elle se retourne pour me faire face. Elle n'a plus d'Ă©chappatoire. Il n'y a plus que moi, qui m'avance lentement vers elle. Je suis incapable de la lĂącher des yeux. Rien qu'un instant, alors que j'approche Ă pas de loup. Mon corps se fond presque contre le sien. Il entretien la tension. Mes prunelles brillent d'excitation, elles brĂ»lent de la retrouver Ă nouveau. Sans un mot, je rĂ©cupĂšre sa bouche, rĂ©duit Ă nĂ©ant la distance qui nous sĂ©pare encore. Mes doigts glissent Ă sa rencontre. Ils la dĂ©couvrent sous les frissons qui m'assaillent. Ma langue ne tarde pas Ă la chercher, pour approfondir notre baiser encore trop chaste. C'est de la folie. Ăa pĂ©tille dans chaque fibre de mon ĂȘtre Ă m'en faire perdre la tĂȘte. Il n'y a plus rien. Plus rien d'autre qu'elle Ă cet instant. c DÎNDELION Ven 18 Sep 2020 - 1330Autumn est une femme libre et libĂ©rĂ©e qui tente par tous les moyens de vivre sa vie comme elle lâentend. Elle est positive, pleine de vie et profite au maximum. Mais malgrĂ© son Ă©tat dâesprit, la vie, son mĂ©tier et parfois les autres la ramĂšnent souvent Ă une rĂ©alitĂ© moins lĂ©gĂšre mais plus difficile, plus sombre. Cependant, depuis lâapparition de ce bel inconnu dans sa vie. Tout est soudain devenu diffĂ©rent. Il Ă©tait comme un ĂȘtre magique, un fantĂŽme qui venait mettre du piquant Ă sa vie. Qui lui donnait envie de se lever le matin dans lâespoir de peut-ĂȘtre le croiser. Car le dĂ©sir de le croiser Ă nouveau, de le connaĂźtre, dâattraper ce rĂȘve volatile et Ă©phĂ©mĂšre donnait du peps Ă sa vie de plus en plus monotone. Alors quand il prit sa main, elle nâa absolument pas voulu rĂ©sister, au contraire, elle Ă©tait envahie par le dĂ©sir de fuir avec lui. Car Ă cet instant prĂ©cis son cĆur se mettait Ă battre la chamade et ça faisait si longtemps quâil ne sâĂ©tait pas exprimĂ© de cette maniĂšre. Elle ne savait pas qui il Ă©tait, dâoĂč il venait, mais elle nâavait pas peur de lui. Il rĂ©veillait en elle lâadolescente quâelle avait Ă©tĂ©. Il lui faisait vivre Ă nouveau lâinsouciance, le plaisir, le dĂ©sir, le jeu. Elle se laissait porter par les sentiments et les dĂ©sirs quâil faisait naĂźtre en elle. Et quand elle vit lâendroit oĂč il la menait, quand elle croisa son regard, aperçut son sourire. Elle se laissa aller. Elle sâapprocha de lui, pour lui voler un baiser ⊠fugace. Puis elle lĂącha sa main et sâĂ©chappa, lui lançant un dĂ©fi au passage. Celui de lâattraper. Et sâil le relevait ce dĂ©fi ? Et sâil y parvenait que se passerait-il ? SincĂšrement, elle en avait aucune idĂ©e car elle ne pensait pas autant, elle ne pensait pas si loin, elle se laissait guider par son corps et son cĆur et non sa tĂȘte. Rien nâĂ©tait rĂ©flĂ©chit, calculĂ©, tout Ă©tait improvisĂ©, sur lâinstant. Elle Ă©tait aussi ainsi Autumn. Et Alvario, aussi, sĂ»rement. Car il la suivait, il courait aprĂšs elle. Semblant faire son maximum pour la rattraper. Il y allait tellement pour de vrai, quâil se cognait parfois. Et elle sâarrĂȘtait, croisait son regard, son reflet. Elle Ă©tait soudain comme une tentation de plus. Puis elle filait, sâĂ©chappait Ă nouveau. Parfois, elle se stoppait seulement pour le regarder pour ĂȘtre certaine de ne pas le perdre de nouveau. Et quand il la regardait, elle se sentait bien, puis soudain son regard se changeait, une lueur de provocation apparaissait, son sourire se faisait joueur, elle riait Ă en faire vibrer les miroirs. Il nâĂ©tait plus trĂšs loin. Mais elle Ă©tait persuadĂ©e de pouvoir gagner, de pouvoir sortir avant quâil ne la rattrape. Quand ⊠soudain ⊠elle tĂątait les parois de verre. Aucune sortie, elle Ă©tait dans un cul de sac. Elle se tourna pour sortir mais il Ă©tait lĂ . PlantĂ© devant elle. Bloquant la seule sortie. Il venait de la prendre au piĂšge. A nouveau elle se mit Ă rire. Je crois que jâai encore regard plongeait dans le sien, alors quâil sâapprochait doucement dâelle. La distance entre eux nâĂ©tait pas si grande et pourtant son avancĂ©e lui semblait interminable, comme au ralenti. Des papillons naissaient dans son corps. Et durant tout ce temps son regard lâhypnotise. Et, soudain, ces frissons qui envahissent son corps quand, enfin, il la frĂŽle, la touche, se colle tout contre elle. La chaleur qui se propage en elle, alors que ses lĂšvres prennent possession des siennes. Leurs langues sâunissant pour une danse endiablĂ©e. Leurs corps bougent, elle se retrouve plaquĂ©e contre une des parois. Mais soudain, la fin. Le choc total. Jackie vient de pousser violemment Alvario pour les faire se dĂ©tacher. JACKIE ! Qu'est-ce qui te prends ? Bon sang !Non mais ça va pas vous deux ? Tu es qui toi ? Câest pas un truc Ă faire dans un jeu pour les gosses . DĂ©gages !!Il attrape le bras d'Autumn qui se dĂ©bat physiquement et verbalement mais il nâĂ©coute rien. Il est plut fort et tout se dĂ©roule trĂšs vite. Il lâentraĂźne Ă lâextĂ©rieur. OĂč se trouve le reste du groupe, qui les regardent mĂ©dusĂ©s, sans rien comprendre Ă la situation. Mais Autumn ne veut pas suivre et Jackie qui sâĂ©nerve un peu plus, la jalousie bouillonnant dans ses veines. Il se baisse, la place sur son Ă©paule, la soulĂšve et lâembarque comme si elle n'Ă©tait qu'une enfant prise sur le fait par son agis comme une idiote. Tu ne le connais mĂȘme pas. C'pas toi ça ... puis il est tard, on t'a cherchĂ© partout. ON RENTRE !!! Ven 18 Sep 2020 - 1419 Cache-cache au pays de MickeyNos bouches se rĂ©pondent, elles s'Ă©veillent, s'allument et s'usent l'une contre l'autre. Le manque de souffle de nous effleurent mĂȘme pas. L'excitation gonfle entre nous alors que mon corps la plaque contre le miroir derriĂšre elle. La chaleur se diffuse dans mon ventre, le long de mon ĂȘtre qui la rĂ©clame dĂ©jĂ . C'est de la passion brute, atone, qui dĂ©passe la logique. Ăa me transperce de toute part, comme un rĂȘve devenant ma rĂ©alitĂ©. C'est ça s'arrĂȘte. En un coup. On me tire en arriĂšre, on m'arrache Ă elle sans que je m'y attende. Mon dos atterri avec fracas contre un miroir, faisant claquer mes dents sur ma langue. Mes yeux se ferment briĂšvement pour accuser le choc, puis se rouvre sur la sale gueule du mec qui vient de me faire voler. Tout va trop vite. Il est dĂ©jĂ sur elle alors qu'elle se dĂ©bat. Il l'emmĂšne loin de moi, la tire Ă sa suite alors qu'elle proteste. Mon corps se dĂ©colle Ă peine du reflet pour tenter de l'attraper au vol, mais mes doigts glissent sur son haut. Elle s'envole en un souffle. J'hĂ©site. Trop longtemps. Mes pieds restent figĂ©s sur place. Mon regard se heurte sur ce gars qui la porte comme si elle n'Ă©tait qu'une poupĂ©e de chiffon. Je boue de l'intĂ©rieur. J'ai envie de courir, de la rattraper, de provoquer ce gars qui m'a arrachĂ© mon rĂȘve, mais c'est trop tard. Ils ont dĂ©jĂ disparu. Je n'ai mĂȘme pas pu croiser son regard une derniĂšre dos retrouve la surface dure. Mon corps se font contre elle, complĂštement sonnĂ©. Une main glisse dans mes cheveux pour tenter de me remettre les idĂ©es en place. Tout est allĂ© si vite. Trop vite. Je frĂŽle mes lĂšvres du bout de mes doigts. Je porte encore le goĂ»t de sa langue sur mon palet. Je mordille ma lĂšvre en relevant les yeux vers l'endroit oĂč elle a disparu. Je la retrouverais. Nos chemins se re-croiseront. Il ne peut pas en ĂȘtre autrement. Ăa ne peut pas se finir comme ça. Ce n'est que le c DÎNDELION Cache-Cache au pays de Mickey - AlvarioPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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Mais Ă un moment, je ne pouvais plus m'enfuir avec de l'alcool, buvant une bouteille de vodka chaque jour, concĂšde-t-il. Maintenant, j'ai du vin, principalement quand je mange ."
Cacrépite systématiquement quand je branche mon disque dur externe sur le port firewire de ma carte son et que je transfÚre des fichiers. Ca crépite sur certains jeux (C&C 3 assez gourmand en ressources, mais aussi des applications trÚs légÚres comme un freeware de géographie qui ne pÚse que quelques Ko et n'a aucune bande son) de
Bonjour je vous Ă©cris aujourd'hui car je ne peux malheureusement pas ouvrir les fichier JPG. Je ne sais pas d'oĂč cela peut venir. J'ai remis mon ordinateur Ă zĂ©ro il y a deux semaines. J'avais tous bien fait mais malheureusement je viens de me rendre compte en voulant ouvrir une image que j'ai tĂ©lĂ©chargĂ© que mon ordinateur ne voulais Jene sais plus ou j'en suis, je ne sais mĂȘme plus si c'est lui que je veux ou si je ne supporte juste pas cet Ă©chec. Parfois je me dis que je vais attendre qu'il revienne, juste pour pouvoir lui dire d'aller se faire foutre. C'est moche, c'est puĂ©ril et ça ne sert Ă rienLeeMin Ho Kim Hyo Jin% NOM COMPLET - Kim Hyo Jin. Ironique pour un macho tel que moi de porter un prĂ©nom fĂ©minin n'est-ce pas ? Aller savoir pourquoi mes pareMafemme ne supporte pas le fait que j'ai un enfant avec mon ex. LA SUITE ICI 5Jn9.