Source incontestée de protéines, la viande fait partie intégrante de l’alimentation de plusieurs d’entre nous. Or, au cours des dernières années, on a rapporté de nombreux cas d’allergie à la viande dans la littérature. Une mystérieuse épidémie » d’allergie à la viande rouge se répandrait même dans certaines régions du monde. Qu’en est-il au juste ? L’allergie à la viande documentée Une allergie alimentaire se veut, par définition, une réaction excessive, voire exagérée, du système immunitaire au contact de la protéine d’un aliment, normalement inoffensive pour la majorité des personnes ». Puisqu’elle contient des protéines, la viande peut donc, en théorie, être associée à une allergie alimentaire. D’ailleurs, historiquement, on fait état de plusieurs cas d’allergie à la viande dans la littérature [1]. Le plus souvent, il s’agit d’une allergie à la viande rouge comme le bœuf et le porc. Il existe aussi des cas d’allergie à d’autres viandes comme le poulet et le kangourou. Mais dans le cadre de cet article, trois types d’allergies à la viande ont attiré notre attention l’allergie au bœuf, le syndrome porc-chat et le syndrome α-gal. L’allergie au bœuf induite par les IgE affecte surtout les enfants L’allergie au bœuf constitue l’allergie à la viande la plus fréquemment diagnostiquée. Elle s’observe surtout chez les bébés et disparaît dans la plupart des cas au cours des premières années de vie. Dès lors, l’allergie au bœuf est relativement rare à l’âge adulte. Fait intéressant la plupart des enfants allergiques au bœuf — jusqu’à 93 % d’entre eux dans les études — le sont aussi au lait de vache [2]. Le contraire est cependant moins fréquent. Parmi les jeunes allergiques au lait de vache, environ un à deux sur dix 13 % à 20 % réagissent également à la viande de bœuf [2]. Note si votre enfant a reçu un diagnostic d’allergie au lait, il n’est pas nécessaire d’exclure d’emblée le bœuf de son alimentation. Comme pour les autres allergies alimentaires induites par les IgE, les manifestations d’une réaction allergique incluent des nausées, des vomissements, de l’urticaire et, dans les cas plus graves, une anaphylaxie. Il semble toutefois que certains procédés de fabrication industriels p. ex., la lyophilisation soient capables de diminuer l’allergénicité du bœuf [1,3]. Une allergie croisée à l’origine du syndrome porc-chat Saviez-vous que certaines personnes allergiques aux chats pouvaient développer une allergie alimentaire à la viande de porc ? Le phénomène, décrit pour la première fois dans les années 1990, s’appelle le syndrome porc-chat. Chez les individus atteints, l’organisme fabrique des IgE qui reconnaissent à la fois des allergènes présents dans les poils et les squames du chat, et d’autres que l’on retrouve dans la viande de porc. Résultat lorsque la personne allergique au chat mange du porc, son système immunitaire réplique de manière exagérée et une réaction allergique se produit. Heureusement, ce ne sont pas toutes les personnes allergiques au chat qui réagiront à la consommation de viande de porc ! On estime qu’il s’agirait de 1 % à 3 % d’entre elles [4]. Par ailleurs, puisque l’allergie au chat se développe surtout pendant l’adolescence ou à l’âge adulte, le syndrome porc-chat s’observe rarement chez les enfants. Du côté des manifestations, elles s’apparentent à celles d’une réaction allergique, passant de l’urticaire jusqu’à l’anaphylaxie. Les symptômes de l’allergie n’apparaîtraient pas immédiatement après la consommation de porc, mais plutôt dans l’heure qui suit. Selon toute vraisemblance, le syndrome porc-chat serait durable dans le temps. Certaines personnes atteintes pourraient aussi réagir au bœuf [4]. La protéine allergène du porc en cause dans le syndrome porc-chat, l’albumine, est sensible à la chaleur. Ainsi, le fait de manger du porc bien cuit provoquerait moins de réactions que du porc fumé ou séché. Syndrome α-gal une tique au banc des accusés Depuis 2009, une mystérieuse allergie à la viande rouge touche certaines régions du monde. Les cas, qui ne cessent d’augmenter, seraient dus à une tique, qui rendrait ceux et celles qui sont victimes de sa morsure allergiques à la viande rouge ! Comment cela est-il possible ? Dans la salive de la tique se trouve un sucre le α-gal. C’est en mordant son hôte que la tique lui injecte le sucre. Il faut savoir que l’α-gal est présent chez la plupart des mammifères, incluant le bœuf, le porc et l’agneau, mais absent chez l’humain. Donc, au contact de l’α-gal transmis par la tique, certains individus, mais pas tous, développeront des anticorps IgE contre le sucre en question. Plus tard, lorsque la personne mangera de la viande rouge qui, rappelons-le, contient de l’α-gal, les anticorps reconnaîtront le sucre, ce qui provoquera une réaction allergique. Toutefois, contrairement à la réaction typique découlant d’une allergie alimentaire, le syndrome α-gal se manifeste plusieurs heures jusqu’à 10 heures dans certains cas après la consommation de viande rouge [5]. Parmi les symptômes observés, on retrouve des crampes abdominales, de la nausée, des vomissements, des difficultés respiratoires, une baisse de la pression artérielle, une enflure des lèvres et de la gorge. On ne sait pas encore exactement pourquoi le syndrome α-gal se développe chez certaines personnes enfants et adultes et pas chez d’autres. On croit cependant que la génétique et la flore intestinale pourraient jouer un rôle dans l’apparition de l’allergie [5]. Les recherches se poursuivent à ce sujet. À ce jour, la tique porteuse de l’α-gal a été identifiée dans plusieurs pays, dont les États-Unis, l’Australie, l’Italie, l’Allemagne et le Brésil [5]. On a aussi détecté la tique au Canada. Donc, l’allergie à la viande prend-elle de l’ampleur ? Effectivement, il semble que le syndrome α-gal contribue à alimenter cette impression. Pour le reste, les données demeurent trop peu nombreuses pour que l’on puisse se prononcer.
Laviande la plus chère du monde est Française ! Non, la viande la plus chère au monde n’est pas issue du boeuf Wagyu ou du boeuf de Kobé mais bien d’une Blonde d’Aquitaine et elle est française et millésimée ! Il faut
Vous auriez parié sur les pâtes ou sur la viande ? Nous aussi. Les aliments les plus consommés du monde ne sont pourtant pas les plus basiques, loin de là ! Si la mondialisation n’a pas atteint tous les recoins, elle n’en est plus si loin, preuve en sont les aliments favoris de la planète, toutes frontières gommées. Parmi eux, des grands noms et des produits transformés, de Nutella à Coca-Cola, en passant par Heinz ou même la Vache qui rit. La bonne nouvelle ? Plus de couleur, plus de religion, plus de conflit qui tienne quand il s’agit d’apprécier une frite ou un café ! Le plaisir est global, les papilles du monde en entier s’en régalent même à l’autre bout de la planète, vous risquez de marcher dans un chewing-gum, autre aliment le plus consommé au monde. Si, c’est une bonne nouvelle. Puisque vous trouverez partout sur la planète vos produits favoris, en parallèle de spécialités locales pas banales et introuvables ailleurs ! Plus de cuisine du monde ? Parcourez notre TOP 15 des meilleures recettes japonaises, 15 recettes scandinaves salées et sucrées, TOP 15 des meilleures recettes brésiliennes, et nos TOP 15 des meilleures recettes thaïes. 1/10 Les frites Oui, les frites ! Sur la plus haute marche du podium, les croustillantes incarnent l’aliment le plus croqué au monde. Qu’elles soient en lamelles ou en bâtonnets, fines ou épaisses, frites ou au four, gratinées ou épicées, chaque pays en a tiré sa spécialité. Les États-Unis revendiquent les potatoes, de grosses frites, le Québec la poutine, des frites noyées sous le fromage, et la France… les French fries, favorites du monde entier, longues et dorées ! Son nom générique rend son origine nébuleuse, le terme frites » étant mentionné dès le 18e siècle dans les textes… sans précision sur le type d’aliment frit. Le mystère appartient à l’histoire, mais la légende les fait exister dès le 17e siècle. Quant à sa provenance, belges et français s’en disputent la paternité. Le mystère de la frite reste donc entier, et peu importe, finalement, tant l’aliment le plus consommé est devenu trésor mondial ! 2/10 La Vache qui rit Cocorico, le fromage français joue les héros. Point de roquefort ou de camembert, mais un sourire réjoui pour le fromage le plus consommé du monde, la Vache qui rit ! Son rictus épanoui en a fait l’un des triangles fromagers favoris des petits français, et le monde entier se fait un devoir de la tartiner sans se priver. Résultat ? Selon son fabricant français, 125 portions de Vache qui rit seraient consommées chaque seconde dans le monde. Alliance de fromages français et britanniques fondus crée en 1921, la Vache qui rit présente une particularité elle n’a pas besoin d’être conservée au réfrigérateur. Elle affiche également l’un des logos les plus connus au monde, contenant l’un des plus célèbres exemples de mise en abîme la Vache qui rit y porte des boucles d’oreilles en boîte de Vache qui rit, sur lesquelles une Vache qui rit porte des boucles d’oreilles en boîte de Vache qui rit, sur lesquelles… vous avez compris ! 3/10 Le Coca-Cola Pour être honnête, on l’attendait pas de liste mondiale, quelle qu’elle soit, sans mentionner au moins une fois le plus célèbre des sodas. Et pour faire partie des aliments les plus consommés de la planète, le Coca-Cola avance fièrement le chiffre d’1,5 milliard de boissons vendues dans le monde, qu’il s’agisse de version sans sucre et sans caféine, ou de l’original, la sucrée à bulles née d’un mélange de coca et de kola… d’où son nom ! Et pourtant, rien ne destinait le soda à virer célébrité des boissons John Pemberton, son créateur, était pharmacien… vétéran de la guerre de Sécession et accro à la morphine. Et s’il inventa la première recette du Coca-Cola en 1870, c’était en tant que médicament, pour se désintoxiquer ! En 1886, un verre de Coca-Cola contenait 9 mg de cocaïne, et des traces y subsistaient encore en 1929… un produit addictif dont ne subsiste plus, dans le Coca-Cola d’aujourd’hui, que la caféine. 4/10 Le café soluble Un petit café vite fait ? Une cuillère de poudre, un filet d’eau chaude, et vous faites officiellement partie des 4600 personnes effectuant le même geste à la même seconde ! Loin de la vague des machines à café chromées et des pastilles colorées, le café reste fidèle à ses basiques son produit star n’a rien à voir avec une dosette branchée, mais avec une poudre instantanée facile à emporter et pratique à préparer. Favori des voyageurs et parfois même préféré aux véritables grains, le café soluble est constitué de grains torréfiés, moulus, passés à la cafetière puis déshydratés. Et si le procédé du café lyophilisé fut inventé plus tôt pour l’armée, la formule qui fit son succès vint de son plus grand distributeur, Nescafé. Aujourd'hui encore, la marque produit la plupart des paquets de café soluble consommés à travers le globe, pour un petit café instantané vite fait bien fait ! 5/10 Le tilapia Le tilapia, c’est quoi ? Un petit poisson si bon qu’il est le poisson le plus consommé au monde, partout… sauf chez nous. Si son succès n’est pas encore installé chez les français, le poisson exotique n’a pourtant plus rien à prouver il a doublé en 2004 la truite et le saumon en tant que poisson le plus vendu au monde, et n’a pas été délogé depuis. Quant à nos cousins américains, ils en consomment plus de 200 000 tonnes par an. Le secret du tilapia ? Dévoré depuis des siècles en Afrique, élevé dès l’Égypte ancienne, il est facile à produire, peu cher à nourrir et parfaitement adapté à l’aquaculture. Autrement dit, un poisson low cost ! Sous le nom générique de tilapia sont regroupés plusieurs poissons blancs, appartenant à la famille des cichlidés. Seul bémol, sa facilité de production, justement, rend la qualité d’élevage très disparate d’un pays à l’autre, parfois bien loin des exigences européennes. 6/10 Les chewing-gums En bon français, on la nomme la gomme à mâcher. En vrai, on l’appelle chewing-gum, et le monde entier aurait du mal à s’en passer ! Un bonbon qui ne se mange pas, le pari était risqué et l’invention plus que gonflée… un succès qui n’aurait pas pu s’installer sans l’essor de la publicité, la popularité des GI au lendemain de la seconde guerre mondiale, et les mille promesses du chewing-gum, censé blanchir les dents, voire les laver, rafraîchir l’haleine ou couper la faim. Et pourtant, le chewing-gum n’est pas né du néant ! Lorsque Thomas Adams, scientifique américain, mélange du latex avec de la résine et du sirop, il concrétise une tradition millénaire les hommes mâchaient de la sève de conifère à la Préhistoire, les mayas préféraient la sève de sapotillier, les égyptiens la résine de lentisque et les grecs celle du pistachier. Puis vint le bétel asiatique, les noix de kolatier des amérindiens et les boulettes de tabac à chiquer des amazoniens… de quoi préparer le terrain à nos chewing-gums parfumés adorés ! 7/10 Le lait concentré sucré Le lait, l’un des aliments les plus consommés au monde ? Non, le lait concentré sucré, pour être plus précis… et plus gourmand ! Plébiscitée par les américains, la conserve aux 1300 calories fut inventé par l’un d’eux prenez du lait de vache, retirez une partie de son eau et remplacez-la par du sucre, vous obtenez un concentré magique. Épais, blanc et savoureux, sucré et sirupeux, il est aussi riche en calories qu’en protéines et matières grasses… mais se conserve plusieurs années ! Et si le succès fut aussi grand, c’est grâce à son adoption par l’armée fédérale américaine. Saveurs uniques et qualités pratiques, il n’en fallait pas plus pour transformer le lait concentré sucré en incontournable du placard dans le monde entier ! Chauffez la conserve au bain-marie, vous obtenez de la confiture de lait ; versez-la dans un gâteau, le moelleux fait un tabac. Attention, tout de même, s’il nourrissait les soldats en temps de guerre, c’est bien par sa concentration calorique extrême… 8/10 Le Nutella Le Nutella, on ne s’en lasse pas ! Née en Italie, la plus célèbre pâte à tartiner du monde en fait l’un des aliments les plus consommés, n’en déplaise aux politiques. Avec 350 000 tonnes de Nutella produites dans le monde chaque année, le géant du cacao n’a plus rien à prouver, encore moins en France l’hexagone consomme 155 millions de pots par an, offrant à la marque italienne 82% du marché de la pâte à tartiner. Comme son cousin le Coca-Cola, le Nutella est pourtant né d’un accident culinaire, de ceux que les gourmands bénissent tartine après tartine dans la pénurie de l’après-seconde guerre mondiale, Pietro Ferrero, pâtissier du Piémont, remplace une partie du cacao, trop cher, par des noisettes de sa région. Il crée ainsi le Ginaduja, un chocolat… à croquer, qui ne deviendra crème qu’à la faveur du caniculaire été 1949 ! Succès immédiat pour Supercrema, plus tard renommée Nutella… 9/10 Les algues On vous dit algues, vous pensez sushis, voire salade japonaise. Et vous avez raison, mais si les algues font partie des aliments les plus consommés, c’est pour d’autres raisons ! Certes, l’engouement récent pour les bouchées japonisantes a grandement promu l’algue alimentaire. Certes, les cuistots éclairés en saupoudrent désormais tous leurs plats, tant elles sont bonnes pour la santé. Et ce, sans réaliser que chacun absorbe, sans même le savoir, un kilo d’algues chaque année ! Une cinquantaine d’espèces d’algues sont cultivées pour l’alimentation humaine parmi elles, les aliments directs, comme la laitue de mer, les nori ou wakame ; les compléments alimentaires, comme la spiruline ; mais aussi, et surtout, des additifs utilisés par l’industrie agro-alimentaire, comme l’aramé, le varech ou l’algine. Leur rôle ? Lier ou gélifier, essentiellement. Et pas d’inquiétude, même à votre insu, les algues sont bonnes pour la santé, justifiant leur statut d’aliment parmi les plus consommés dans le monde ! 10/10 Le ketchup Heinz Qui ne connait pas le ketchup ? Peu de gens à en croire les études plaçant le ketchup Heinz parmi les aliments les plus consommés au monde ! Rouge et sucré, épais et acidulé, le ketchup crée la polémique sur ses origines. D’un côté, des marins anglais rapportant d’Indonésie une sauce de poisson par la suite adoucie de sucre et de tomate ; de l’autre, une recette de grand-mère du sud américain, publiée dans le Livre des confédérés en 1868. La réalité ? Peut-être un mélange des deux ! Seules certitudes, John Heinz, le fondateur de l’entreprise américaine, ne fut pas le créateur de la recette, mais l’adoucit encore un peu plus. Et la recette d’aujourd’hui, justement, est ainsi composée de tomates, de vinaigre, de sucre et de sel, de piment de la Jamaïque, de clous de girofle et de cannelle… de quoi expliquer l’addiction gourmande à une sauce sucrée, plébiscitée dans le monde entier. À noter, toutefois, que les Philippins fabriquent leur ketchup à partir de bananes ! VOUS ALLEZ AIMER 15 recettes avec du raisin pour faire le plein de vitamines ! 15 charlottes pour finir votre repas de Pâques en beauté ! 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Monde 2905 kilos de poulets et viande de volailles sont produits et consommés dans le monde chaque seconde (compteur), soit 101 millions de tonnes de viande de volailles par an. Cela représenterait 86 milliards de poulets, 1,3 milliards de dindes, 4,2 milliards de canards, etc. Les Etas-Unis, le Brésil et la Chine sont les plus grands
Partager la publication "Boeuf de Kobé – Wagyu secret de la meilleure viande de boeuf du Japon" FacebookTwitter Un boeuf japonais qui boit de la bière et se fait masser secret d’une viande de haute qualité Ceux qui ont eu la chance de goûter la viande de boeuf de Kobé, autrement appelé boeuf Wagyu, sont tous unanimes c’est une viande de grande qualité, succulente, délicieuse, sublime, d’une tendreté extrême que seule les japonais peuvent produire aujourd’hui. Le secret un boeuf nourri à la bière, massé au Saké, et qui écoute les plus grands tubes de musique classique… Origine du Wagyu et du Boeuf de Kobé Littéralement, Wagyu signifie boeuf gyu du Japon wa et englobe toutes les races de boeuf d’origine japonaise, seulement les boeufs, rien à voir donc avec les lycéennes japonaises cette fois ci. Ces races de boeufs japonais se sont divisées en plusieurs lignes génétiques à cause du relief et de l’impossibilité de faire voyager du bétail dans un Japon féodal souvent en guerre bien avant l’épisode sombre du trésor de guerre japonais de Yamashita. Pendant des centaines d’années, de petits troupeaux de Wagyu furent donc physiquement isolés et donc génétiquement isolés en raison des barrières naturelles de la campagne montagneuse japonaise comme la Corée, le Japon est un pays très montagneux. Ces races furent, à l’origine, élevées pour leur puissance et leur force dans les travaux agricoles, car l’élevage de Yeti et de Sasquatch n’était pas bien maitrisé. Les résultats de l’isolement géographique ainsi que celui crée par l’homme ont assuré depuis ces temps du Japon Féodal, une pureté génétique de cette ancienne race de bétail de guêpe grâce au powerplate. Plusieurs lignées sont encore aujourd’hui à l’origine de l’appellation Tajiri ou Tajima, de la région de Hyogo Fujiyoshi ou Shimame, de la région d’Okayama Tottori ou Kedaka, du district de Tottori Ces races portent une robe rouge ou noire celle de Kobé est noire, plus rarement zébré ou léopard des robes plutôt réservés aux Fétichistes du Zentaï. Les wagyus sont de taille moyenne pas comme Thavakalai aka Little Superstar, autour de 600 kg avec néanmoins une silhouette massive et une encollure forte. Comment faire un bon boeuf de Kobé ? La race Wagyu donne naturellement une des viandes les plus persillée grâce à son intense marbré intramusculaire le gras est distribué dans la viande des muscles plutôt qu’autour. Ce marbré est une des caractéristiques principales qui explique la saveur de beurre sans égal du bœuf de Kobe, sa tendreté et son goût délicieux, facilement détectable grâce à nos Récepteurs CD36 présent sur la langue. Par ailleurs, le gras de la viande serait plus pauvre en cholestérol que celui d’autres races de la filière viande, son gras contiendrait en effet la moitié du niveau de graisses saturées qu’un boeuf commercial » et est par conséquent plus efficace à abaisser le taux de cholestérol. Combiné à une prise régulière d’Elixir du Suédois, c’est la santé assurée ! Mais même, si le boeuf wagyu a naturellement ces qualités exceptionnelles, il existe une variété encore plus raffinée de wagyu. C’est à Kobe qu’on a développé ce mode d’élevage, qui consiste à surveiller strictement l’alimentation des boeufs, mais aussi à les masser au saké massage érotico-sensoriels japonais et à introduire de la bière japonaise 3 litres par jours, comme Geoff dans leur nourriture, ce qui explique sans doute leur zénitude et leur joie de vivre comme Henry Salvador. Ce massage au saké, outre le fait de détendre l’animal, permet de faire pénétrer les particules organoleptiques dans les chairs, afin qu’elles se concentrent dans les graisses intra-musculaire. Pour compléter son existence privilégiée dans le règne de l’animal de boucherie, le Boeuf de Kobé se fait cajoler les oreilles avec de la musique classique ou plus rarement de la Tecktonik TCK, il est nourri majestueusement sans doute mieux que les 800 millions de personnes souffrant de malnutrition, et pour couronner le tout, son étable est suffisamment grande pour qu’il ne trouve rien à reprocher à son mode de vie. Comme on le voit, les boeufs Wagyu sont particulièrement chouchoutés, éloignés de tout stress qui pourrait altérer la tendreté de leur chair marbrée à souhait. Il est également évident que l’on n’ajoute pas de stimulants de croissance ni d’antibiotiques à la nourriture du bœuf Wagyu. C’est une viande de légende, qu’il faut avoir goûtée au moins une fois dans sa vie sauf si on est végétarien, végétalien, vegan, straight edge, …. Des expériences similaires sont depuis tentés hors des frontières nippones, dans le périgord français Coutancie Legendus, que l’on peut trouver chez Fauchon ou aux Etats Unis Morgan Ranch par exemple. Malheureusement, outre ces quelques tentatives, il est quasiment impossible de trouver du véritable Wagyu en dehors du Japon, et des règlements sanitaires européens protectionnistes! tentent régulièrement d’interdire son importation en Suisse notamment, et même au Japon, seuls les grands restaurants proposent de déguster de la viande de boeuf de Kobé, à des prix assez hallucinants 80euros le steak de 300g …. De toutes façons, le boeuf de Kobé, comme le bukkake, c’est vraiment une spécialité culinaire japonaise qui tape tout là !! Partager la publication "Boeuf de Kobé – Wagyu secret de la meilleure viande de boeuf du Japon" FacebookTwitter
Cemessage placardé un peu partout dans Paris a créé la sensation sur le web. Cette affiche est en réalité le résultat d'un coup médiatique d'une agence de publicité parisienne qui a voulu
Accueil Hauts-de-France Montreuil Alexis Merlot, Antoine et Benoît Roussel élèvent à Villers-sur-Authie des bœufs de la race wagyu. Cette même race produit, au Japon, le célèbre bœuf de Kobé aussi appelé caviar de la viande » pour son prix très élevé. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1€ à notre offre numérique. Sans engagement de durée. ESSAYER POUR 1€ Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Se connecter L'info en continu 1h05 International Madagascar au moins 11 civils tués après des tirs de gendarmes 0h29 TV - Streaming L’Amour est dans le pré » épisode 2, saison 17 ils se plaisent ou quoi»? 21h26 France Prix de l’énergie un Conseil de défense se tiendra vendredi matin 21h07 Economie Le prix du gazole a nettement augmenté la semaine dernière 20h58 France Factrice retrouvée morte son compagnon reconnaît l’avoir tuée Toute l'info en continu >
Laviande la plus chère au monde n'est pas issue du boeuf Wagyu ou du boeuf de Kobé mais bien d'une Blonde d'Aquitaine et elle est française et millésimée ! Il faut compter jusqu'à près de
Texte La filière française de l’élevage et des viandes, en 2014, c’est près d’un demi-million de professionnels. Et d’ici 2018, c’est plus de 20 000 emplois à pourvoir ! Ces chiffres montrent combien ce secteur d’activité compte dans l’économie française et participe à la dynamique sociale du pays. Et c’est bien chaque maillon de la chaîne qui y contribue. Pour découvrir cet éventail d’opportunités, dans les domaines de l’élevage, de la mise en marché des animaux, de la transformation ou de la commercialisation des viandes, INTERBEV propose 24 fiches métiers qui présentent les activités, compétences, qualifications et avantages des principales professions de chacun des grands maillons de la filière. Pour découvrir les métiers en image, INTERBEV propose également 22 vidéos, témoignages des hommes et des femmes du secteur élevage et viande. De l’élevage à la commercialisation en passant par la mise en marché et la transformation, la filière élevage et viande rassemble une multitude de métiers. Toutes ces professions demandent des compétences bien spécifiques que vous pourrez acquérir en suivant différentes formations. Envie de rentrer rapidement dans la vie active ? Les filières de formation permettant d’accéder entre autre à un CAP, un BP ou un BTS permettent d’acquérir rapidement des connaissances techniques pointues sur un métier en vue d’une insertion dans le monde professionnel. Suivre un cursus plus long pour obtenir un Bac +4 ou +5 ? Intégrer une école d’ingénieur ou de commerce offre cette possibilité. Avoir la possibilité d’approfondir vos connaissances au fil de vos études ? Le parcours universitaire Licence-Master-Doctorat permet d’acquérir de nombreux savoirs, généraux et techniques, tout en élevant le niveau de qualification. De nombreuses voies de formation sont accessibles, du CAP au Bac +5. Chacun pourra ainsi trouver une formation en parfaite adéquation avec ses souhaits professionnels. Comprendre l’échelle des diplômes Pour de plus amples informations sur ces diplômes, rendez-vous sur Et plus particulièrement au sein de la filière élevage et viande, sur En savoir plus sur les métiers et formations de l’élevage de la mise en marché des animaux de la transformation de la commercialisation de la viande Texte Zoom métiers élevage et alimentation Réalisé en partenariat avec l’ONISEP, ce Zoom métiers a pour but de faire connaître le secteur de l’élevage et de l’alimentation et ses métiers. 20 professionnelles évoquent leur quotidien et leurs parcours. Éleveuse, technicien conseil en élevage, directrice d’abattoir, cuisinier en restauration collective... Le conseil, la relation client et le respect de l’animal sont au cœur de ces métiers. En s’appuyant sur la réalité du terrain, cette publication s’inscrit dans le parcours Avenir qui accompagne les élèves de la 6e à la terminale dans leur orientation. Télécharger le Zoom métiers
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viande la plus cher du monde